À deux heures de Paris
Erika Sainte, 37 ans, a une fille de 15 ans, née de père inconnu… À son âge, la jeune fille aimerait connaître l'identité de son géniteur.
Sa mère lui propose alors de partir en week-end à deux heures de Paris, en baie de Somme, pour retrouver le village dans lequel elle a grandi, et dans lequel elle n'est jamais retournée, afin de prélever un cheveu aux quatre pères possibles. L'analyse ADN déterminera alors lequel de ses cinq anciens amants lui a donné son enfant. Les suspects sont Fred Testot, Frédéric Pierrot, Nicolas Bridet, Guy Amram et Bruno Slagmulder. La fille et sa mère seront aidées dans leur quête par Shirley Bousquet, la meilleure amie de l'époque de cette dernière.
Sorte de road trip rural mélangé à des tranches de vie dans la France profonde, ce premier film de Virginie Verrier est assez original, mais manque de rythme et de caractère, le tout pour un fin pas complètement satisfaisante. Bilan mitigé, donc.
Note : 5 / 10
Sa mère lui propose alors de partir en week-end à deux heures de Paris, en baie de Somme, pour retrouver le village dans lequel elle a grandi, et dans lequel elle n'est jamais retournée, afin de prélever un cheveu aux quatre pères possibles. L'analyse ADN déterminera alors lequel de ses cinq anciens amants lui a donné son enfant. Les suspects sont Fred Testot, Frédéric Pierrot, Nicolas Bridet, Guy Amram et Bruno Slagmulder. La fille et sa mère seront aidées dans leur quête par Shirley Bousquet, la meilleure amie de l'époque de cette dernière.
Sorte de road trip rural mélangé à des tranches de vie dans la France profonde, ce premier film de Virginie Verrier est assez original, mais manque de rythme et de caractère, le tout pour un fin pas complètement satisfaisante. Bilan mitigé, donc.
Note : 5 / 10
Vu le 9 mai 2020