Apprentis parents
Habitué aux comédies américaines, Sean Anders reprend sa caméra pour un septième film.
On y retrouve Mark Wahlberg, que le réal avait déjà dirigé sur Very bad dads 1 et 2, marié à Rose Byrne. Ils vivent heureux, mais sont charriés par leur famille qui pense qu'ils n'auront jamais d'enfants, et pire, qu'ils seraient de toute façon incapables de s'en occuper. Pour leur donner tort, ils annoncent alors vouloir adopter un enfant !
Finalement, l'idée fait son chemin, à tel point que le couple entame les démarches. Là, ils apprennent que beaucoup d'enfants attendent d'être adoptés, et plus particulièrement des ados, qui, par leur âge, n'intéressent pas grand monde. C'est alors qu'ils rencontrent Isabela Moner, une jeune latino de quinze ans. C'est le coup de foudre ! Sauf que celle-ci a un frère de dix ans, et une sœur de six ans. Le couple, qui pensait accueillir un nourrisson, se retrouve alors avec trois grands enfants ! De quoi bouleverser leur vie. Surtout que la mère des enfants, junkie en cours de désintoxication, menace de les reprendre à tout moment.
Si le scénario est assez convenu, c'est l'interprétation des acteurs qui va donner au film tout son charme. Le duo Wahlberg / Byrne est absolument parfait en couple modèle, et les trois enfants sont eux aussi particulièrement bien choisis. La jeune Isabela Moner, qui interprétera l'année suivante l'iconique Dora l'exploratrice dans Dora et la cité perdue, est promise à un bel avenir cinématographique, si elle ne subit pas le même destin funeste que nombre d'enfants stars.
Un bien joli film, drôle et touchant, qui confirme que Sean Anders est un réalisateur de talent. Si ses films ont des airs, à travers leurs affiches, leurs synopsis ou même leurs titres, de comédies grasses et potaches, Apprentis parents prouve une fois de plus qu'ils sont plus que ça.
Note : 7 / 10
On y retrouve Mark Wahlberg, que le réal avait déjà dirigé sur Very bad dads 1 et 2, marié à Rose Byrne. Ils vivent heureux, mais sont charriés par leur famille qui pense qu'ils n'auront jamais d'enfants, et pire, qu'ils seraient de toute façon incapables de s'en occuper. Pour leur donner tort, ils annoncent alors vouloir adopter un enfant !
Finalement, l'idée fait son chemin, à tel point que le couple entame les démarches. Là, ils apprennent que beaucoup d'enfants attendent d'être adoptés, et plus particulièrement des ados, qui, par leur âge, n'intéressent pas grand monde. C'est alors qu'ils rencontrent Isabela Moner, une jeune latino de quinze ans. C'est le coup de foudre ! Sauf que celle-ci a un frère de dix ans, et une sœur de six ans. Le couple, qui pensait accueillir un nourrisson, se retrouve alors avec trois grands enfants ! De quoi bouleverser leur vie. Surtout que la mère des enfants, junkie en cours de désintoxication, menace de les reprendre à tout moment.
Si le scénario est assez convenu, c'est l'interprétation des acteurs qui va donner au film tout son charme. Le duo Wahlberg / Byrne est absolument parfait en couple modèle, et les trois enfants sont eux aussi particulièrement bien choisis. La jeune Isabela Moner, qui interprétera l'année suivante l'iconique Dora l'exploratrice dans Dora et la cité perdue, est promise à un bel avenir cinématographique, si elle ne subit pas le même destin funeste que nombre d'enfants stars.
Un bien joli film, drôle et touchant, qui confirme que Sean Anders est un réalisateur de talent. Si ses films ont des airs, à travers leurs affiches, leurs synopsis ou même leurs titres, de comédies grasses et potaches, Apprentis parents prouve une fois de plus qu'ils sont plus que ça.
Note : 7 / 10
Vu le 20 mai 2022
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage