Vends deux pièces à Beyrouth
Après le très médiocre Hallelujah bordel !, qu'il aura joué pendant trois ans, Jérémy Ferrari se décide enfin à écrire un nouveau spectacle, qu'il jouera deux ans, de 2016 à 2018, et qui sera un gros succès commercial et critique.
Jouant sur la guerre, et sur les attentats, ce spectacle est teinté de l'humour noir de l'ancien pensionnaire d'On n'demande qu'à en rire. Faussement subversif, Jérémy Ferrari ne va jamais au bout des choses, et reste à distance de la ligne jaune. Si certains sketches prêtent à sourire, il sera plus compliqué d'arracher un rire aux spectateurs habitués à voir d'autres humoristes traiter ces mêmes sujets avec beaucoup moins de pincettes. À l'instar de Blanche Gardin, Jérémy Ferrari est trop gentil pour être bon dans l'humour noir.
Note : 6 / 10
Jouant sur la guerre, et sur les attentats, ce spectacle est teinté de l'humour noir de l'ancien pensionnaire d'On n'demande qu'à en rire. Faussement subversif, Jérémy Ferrari ne va jamais au bout des choses, et reste à distance de la ligne jaune. Si certains sketches prêtent à sourire, il sera plus compliqué d'arracher un rire aux spectateurs habitués à voir d'autres humoristes traiter ces mêmes sujets avec beaucoup moins de pincettes. À l'instar de Blanche Gardin, Jérémy Ferrari est trop gentil pour être bon dans l'humour noir.
Note : 6 / 10
Vu le 12 juin 2020