C'est la vie
Le concept de ce film de Julien Rambaldi (Les meilleurs amis du monde, Bienvenue à Marly-Gomont) est très simple : on va suivre différentes femmes sur le point d'accoucher.
On retrouve Léa Drucker, directrice d'une entreprise du secteur spatial, qui compte bien travailler jusqu'à la dernière minute, suivie par son mari, dévoué et effacé, Youssef Hajdi. Alice Pol, elle, accouche seule après avoir largué son mec, Tom Leeb, même pas au courant de sa grossesse. Situation qui ne sera pas au goût de la sage-femme, Josiane Balasko. À l'inverse, Sarah Stern est bien entourée, puisqu'elle peut compter, pour son accouchement zen, sur son mari, Antoine Gouy, mais aussi sur sa mère, omniprésente, Anne Benoît. Florence Loiret-Caille est seule, elle aussi, car son mari, David Marsais est en déplacement. Prévenu de l'arrivée prématurée de son enfant, il fera son possible pour rejoindre l'hôpital à temps ! Enfin, Mélodie Richard, homosexuelle, attend l'enfant qu'elle élèvera avec sa compagne, Fadily Camara, sous le regard impliqué du géniteur, Thomas Scimeca.
Un joli casting, donc, complété par Nicolas Maury en médecin obstétricien, ou encore par Julia Piaton.
Particulièrement maîtrisé, le film nous balade d'un personnage à l'autre, sans jamais nous perdre, tout en portant un regard bienveillant sur chacun d'entre eux. On retrouve au cours de ces grossesses beaucoup de tendresse et de poésie, pour un final touchant, le tout ponctué d'humour bienvenu. En dehors d'une scène assez dispensable avec Michel Drucker, le réalisateur ne tombe dans aucune facilité ni aucun cliché. Bref, un film malin, beau et touchant, à ne pas manquer.
Note : 8 / 10
On retrouve Léa Drucker, directrice d'une entreprise du secteur spatial, qui compte bien travailler jusqu'à la dernière minute, suivie par son mari, dévoué et effacé, Youssef Hajdi. Alice Pol, elle, accouche seule après avoir largué son mec, Tom Leeb, même pas au courant de sa grossesse. Situation qui ne sera pas au goût de la sage-femme, Josiane Balasko. À l'inverse, Sarah Stern est bien entourée, puisqu'elle peut compter, pour son accouchement zen, sur son mari, Antoine Gouy, mais aussi sur sa mère, omniprésente, Anne Benoît. Florence Loiret-Caille est seule, elle aussi, car son mari, David Marsais est en déplacement. Prévenu de l'arrivée prématurée de son enfant, il fera son possible pour rejoindre l'hôpital à temps ! Enfin, Mélodie Richard, homosexuelle, attend l'enfant qu'elle élèvera avec sa compagne, Fadily Camara, sous le regard impliqué du géniteur, Thomas Scimeca.
Un joli casting, donc, complété par Nicolas Maury en médecin obstétricien, ou encore par Julia Piaton.
Particulièrement maîtrisé, le film nous balade d'un personnage à l'autre, sans jamais nous perdre, tout en portant un regard bienveillant sur chacun d'entre eux. On retrouve au cours de ces grossesses beaucoup de tendresse et de poésie, pour un final touchant, le tout ponctué d'humour bienvenu. En dehors d'une scène assez dispensable avec Michel Drucker, le réalisateur ne tombe dans aucune facilité ni aucun cliché. Bref, un film malin, beau et touchant, à ne pas manquer.
Note : 8 / 10
Vu le 7 juin 2022