Family business (saison 3)
Un an après la saison 2, la série humoristique d'Igor Gotesman est de retour sur Netflix pour une troisième et dernière saison.
On retrouve la famille Hazan là où on l'avait laissée ; à savoir évadés de prison, mais capturés par des inconnus. Lesquels inconnus se trouvent être un groupe de trafiquants grimés en moines, reclus dans un monastère perdu en Amérique latine, et dirigés par un Raphaël Quenard complètement déjanté.
Et déjanté, c'est vraiment le mot qui définira ces six épisodes. On s'affranchit ici encore un peu plus de la plausibilité du scénario en exagérant encore un peu le trait, donnant à la série, parfois, des airs de South park. En particulier, le personnage de Louise Coldefy est plus perché que jamais ; tout comme le duo Jonathan Cohen / Olivier Rosemberg, toujours plus abrutis.
Le problème est que l'accent mis sur ces personnages se fait au détriment des autres, qui s'en trouvent effacés. On perd alors le côté « entreprise familiale » (family business en anglais) pour se concentrer véritablement sur l'humour. Ce n'est ni mieux, ni moins bien que les saisons précédentes. Juste différent. Pourquoi pas ?
Quant à la question de savoir si le dénouement est à la hauteur des espérances, il semble bien difficile d'être pleinement satisfait. Toutefois, les scénaristes ont le mérite d'apporter à l'œuvre une conclusion logique et convenable. On ne sera donc pas vraiment surpris, et pas vraiment déçus non plus. Une fin honnête, pour une série sympathique, que l'on verra avec plaisir, mais que l'on ne verra certainement qu'une fois.
Note : 7 / 10
On retrouve la famille Hazan là où on l'avait laissée ; à savoir évadés de prison, mais capturés par des inconnus. Lesquels inconnus se trouvent être un groupe de trafiquants grimés en moines, reclus dans un monastère perdu en Amérique latine, et dirigés par un Raphaël Quenard complètement déjanté.
Et déjanté, c'est vraiment le mot qui définira ces six épisodes. On s'affranchit ici encore un peu plus de la plausibilité du scénario en exagérant encore un peu le trait, donnant à la série, parfois, des airs de South park. En particulier, le personnage de Louise Coldefy est plus perché que jamais ; tout comme le duo Jonathan Cohen / Olivier Rosemberg, toujours plus abrutis.
Le problème est que l'accent mis sur ces personnages se fait au détriment des autres, qui s'en trouvent effacés. On perd alors le côté « entreprise familiale » (family business en anglais) pour se concentrer véritablement sur l'humour. Ce n'est ni mieux, ni moins bien que les saisons précédentes. Juste différent. Pourquoi pas ?
Quant à la question de savoir si le dénouement est à la hauteur des espérances, il semble bien difficile d'être pleinement satisfait. Toutefois, les scénaristes ont le mérite d'apporter à l'œuvre une conclusion logique et convenable. On ne sera donc pas vraiment surpris, et pas vraiment déçus non plus. Une fin honnête, pour une série sympathique, que l'on verra avec plaisir, mais que l'on ne verra certainement qu'une fois.
Note : 7 / 10
Vu le 16 octobtre 2021