Harry Potter et la chambre des secrets
Apparemment content de lui, Chris Columbus persiste et adapte ce deuxième volet des aventures du « sorcier » qui a volé les lunettes de John Lennon.
Alors que le premier film proposait un semblant de scénario (mauvais, certes, mais existant), ce film innove encore moins puisqu'il reprend le même fil conducteur que le précédent, l'effet de surprise en moins. Là encore, Harry part de la maison de son oncle tyrannique pour aller étudier à une école de sorcier très mystérieuse (qui irait dans une école sans savoir à quoi – et dans quel but – elle forme ?).
Comme dans l'épisode précédent, le balafré va tenter, à l'aide de ses amis / faire-valoir de vaincre le terrible Voldemort (oui, on a le nom qu'on mérite) qu'on ne voit toujours pas.
Avec un budget revu à la hausse, les effets-spéciaux s'améliorent nettement et donnent à ce film une esthétique qui – sans être bouleversante – est correcte. C'est déjà ça.
Les acteurs, eux, se débrouillent comme ils peuvent avec des costumes, des répliques et des noms pourris.
Au final, cette suite n'apporte pas grand-chose à part peut-être quelques révélations sur le « méchant », avec un nom qui sentait l'anagramme à 15 kilomètres… Bref, on a l'impression de voir un Police academy : maintenant qu'on a créé des personnages et un univers, faisons des suites !
Les faire, c'est bien… Les regarder, beaucoup moins !
Note : 3 / 10
Alors que le premier film proposait un semblant de scénario (mauvais, certes, mais existant), ce film innove encore moins puisqu'il reprend le même fil conducteur que le précédent, l'effet de surprise en moins. Là encore, Harry part de la maison de son oncle tyrannique pour aller étudier à une école de sorcier très mystérieuse (qui irait dans une école sans savoir à quoi – et dans quel but – elle forme ?).
Comme dans l'épisode précédent, le balafré va tenter, à l'aide de ses amis / faire-valoir de vaincre le terrible Voldemort (oui, on a le nom qu'on mérite) qu'on ne voit toujours pas.
Avec un budget revu à la hausse, les effets-spéciaux s'améliorent nettement et donnent à ce film une esthétique qui – sans être bouleversante – est correcte. C'est déjà ça.
Les acteurs, eux, se débrouillent comme ils peuvent avec des costumes, des répliques et des noms pourris.
Au final, cette suite n'apporte pas grand-chose à part peut-être quelques révélations sur le « méchant », avec un nom qui sentait l'anagramme à 15 kilomètres… Bref, on a l'impression de voir un Police academy : maintenant qu'on a créé des personnages et un univers, faisons des suites !
Les faire, c'est bien… Les regarder, beaucoup moins !
Note : 3 / 10
Vu le 13 juin 2011
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage