Harry Potter et le prince de sang-mêlé
Et de six ! Conforté par un épisode 5 « un peu » moins naze que les précédents, David Yates voit ici son poste de réalisateur confirmé pour le plus grand plaisir de son portefeuille.
Cette fois, le sorcier le plus inutile de tous les temps (même pas capable de faire disparaître sa myopie) va trouver un livre… Génial ! Bref, ce livre appartient à un type que personne ne connait, et la curiosité va le pousser à rechercher ce mystérieux « prince de sang-mêlé ».
Autour de cette recherche palpitante, de non-moins passionnants liens affectifs se tisseront entre les protagonistes dont le charisme cumulé atteint celui d'un chameau empaillé.
Malgré tous les efforts du réalisateur pour donner un tant soit peu d'intérêt à ce scénario calqué sur l'encéphalogramme de Ribéry, l'ensemble reste mou comme de la gelée Anglaise…
Heureusement que quelques scènes clairement tournées au second degré et quelques effets-spéciaux pas trop crades viennent tirer le spectateur des bras de ce cher Morphée.
Reste donc un épisode vraiment pas terrible, mais bien au-dessus de la moyenne…
Note : 5 / 10
Cette fois, le sorcier le plus inutile de tous les temps (même pas capable de faire disparaître sa myopie) va trouver un livre… Génial ! Bref, ce livre appartient à un type que personne ne connait, et la curiosité va le pousser à rechercher ce mystérieux « prince de sang-mêlé ».
Autour de cette recherche palpitante, de non-moins passionnants liens affectifs se tisseront entre les protagonistes dont le charisme cumulé atteint celui d'un chameau empaillé.
Malgré tous les efforts du réalisateur pour donner un tant soit peu d'intérêt à ce scénario calqué sur l'encéphalogramme de Ribéry, l'ensemble reste mou comme de la gelée Anglaise…
Heureusement que quelques scènes clairement tournées au second degré et quelques effets-spéciaux pas trop crades viennent tirer le spectateur des bras de ce cher Morphée.
Reste donc un épisode vraiment pas terrible, mais bien au-dessus de la moyenne…
Note : 5 / 10
Vu le 13 juillet 2011
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage