Au nom de ma fille
Vincent Garenq, habitué des polars, adapte ici l'affaire Krombach.
En 1982, la jeune Kalinka, 14 ans, meurt chez sa mère et son beau-père, en Allemagne. Le père, André (Daniel Auteuil), ne peut croire à une cause naturelle, et décide d'enquêter de son côté. Rapidement, il découvre que, d'après l'autopsie clairement bâclée, tout porte à croire que le beau-père de feue sa fille, Dieter Krombach (Sebastian Koch), aurait violé et assassiné la jeune fille.
S'en suit alors un interminable combat contre la justice française, qui finira par condamner Krombach, puis contre la justice allemande, qui refusera de l'extrader.
Plus qu'une affaire criminelle, banale et tragique, le film retrace le parcours d'un père qui mettra vingt-sept années de sa vie pour parvenir à son but : mettre l'assassin de sa fille en prison. Vingt-sept années à se mettre son entourage à dos, à mettre sa vie entre parenthèses. Bref, il s'agit là d'une histoire touchante, parfois révoltante. Un film coup de poing, à voir.
Note : 8 / 10
En 1982, la jeune Kalinka, 14 ans, meurt chez sa mère et son beau-père, en Allemagne. Le père, André (Daniel Auteuil), ne peut croire à une cause naturelle, et décide d'enquêter de son côté. Rapidement, il découvre que, d'après l'autopsie clairement bâclée, tout porte à croire que le beau-père de feue sa fille, Dieter Krombach (Sebastian Koch), aurait violé et assassiné la jeune fille.
S'en suit alors un interminable combat contre la justice française, qui finira par condamner Krombach, puis contre la justice allemande, qui refusera de l'extrader.
Plus qu'une affaire criminelle, banale et tragique, le film retrace le parcours d'un père qui mettra vingt-sept années de sa vie pour parvenir à son but : mettre l'assassin de sa fille en prison. Vingt-sept années à se mettre son entourage à dos, à mettre sa vie entre parenthèses. Bref, il s'agit là d'une histoire touchante, parfois révoltante. Un film coup de poing, à voir.
Note : 8 / 10
Vu le 14 octobtre 2019
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage