Mon beau-père et nous
Ce troisième volet de la saga, Mon beau-père et nous marque une rupture avec les deux précédents épisodes puisque Jay Roach cède son siège de réalisateur à Paul Weitz, l'auteur d'American pie. Ce changement pouvait augurer de bonnes nouvelles puisque le deuxième film était vraiment au ras des pâquerettes…
L'histoire se déroule quelques années plus tard. Les Furnicker sont désormais parents d'un petit garçon et d'une petite fille, jumeaux, qui s'apprêtent à fêter leurs anniversaires en grande pompe. Évidemment, les deux belles-familles sont conviées à cet événement.
Parallèlement, Ben Stiller se voit confier la présentation d'un ersatz de Viagra™ par Jessica Alba. Gags fins en perspective…
Écopant de quelques nominations aux Razzie Awards 2011 (pire actrice dans un second rôle pour Jessica Alba et Barbra Streisand et pire scénario), le film est clairement aussi mauvais que le second volet de la saga.
Ne faisant preuve d'aucune originalité, le réalisateur se contente de recycler les gags des deux films précédent en y ajoutant Jessica Alba…
Bref, à éviter à moins d'être un inconditionnel des aventures de la famille Furniker.
Note : 3 / 10
L'histoire se déroule quelques années plus tard. Les Furnicker sont désormais parents d'un petit garçon et d'une petite fille, jumeaux, qui s'apprêtent à fêter leurs anniversaires en grande pompe. Évidemment, les deux belles-familles sont conviées à cet événement.
Parallèlement, Ben Stiller se voit confier la présentation d'un ersatz de Viagra™ par Jessica Alba. Gags fins en perspective…
Écopant de quelques nominations aux Razzie Awards 2011 (pire actrice dans un second rôle pour Jessica Alba et Barbra Streisand et pire scénario), le film est clairement aussi mauvais que le second volet de la saga.
Ne faisant preuve d'aucune originalité, le réalisateur se contente de recycler les gags des deux films précédent en y ajoutant Jessica Alba…
Bref, à éviter à moins d'être un inconditionnel des aventures de la famille Furniker.
Note : 3 / 10
Vu le 4 janvier 2011
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage