Minority report
En 2054, trois mutants nommés « précogs » (pour « précognitifs ») sont capables de prédire l'avenir ; plus précisément, ils sont capables de voir les meurtres qui seront commis dans le futur par des flashs. Ces êtres inadaptés à la vie en société sont sédatés, et connectés à un système informatique d'une structure gouvernementale nommée Précrime, dirigée par Max von Sydow. Une équipe, menée par Tom Cruise, est chargée d'arrêter les futurs criminels avant qu'ils ne passent à l'acte, dès qu'un rapport est émis par les précogs.
Tout basculera le jour om Tom Cruise verra son nom être désigné. Il est censé tuer un homme dont il n'a jamais entendu parler ! Il s'échappe alors, et se retrouve face à un paradoxe : s'il ne se fait pas arrêter par la police, alors il n'a que deux possibilités : soit il tue cet homme, auquel cas Précrime n'aura pas fonctionné, soit il ne le tue pas, rendant alors les prédictions fausses, et faisant s'écrouler Précrime…
À la vue de ce synopsis, on peut s'en douter : le scénario est signé Philip K. Dick. Avec un matériau de base aussi solide, et un réalisateur comme Steven Spielberg aux manettes, le film ne pouvait qu'être une réussite. Et clairement, il l'est ! Visuellement très réussi, porté par la musique toujours juste de John Williams, et interprété par des acteurs en forme (mention spéciale à Colin Farrell parfait dans ce rôle), ce classique instantané de la science-fiction se laisse toujours voir avec grand plaisir près de vingt ans après sa sortie.
Note : 8 / 10
Tout basculera le jour om Tom Cruise verra son nom être désigné. Il est censé tuer un homme dont il n'a jamais entendu parler ! Il s'échappe alors, et se retrouve face à un paradoxe : s'il ne se fait pas arrêter par la police, alors il n'a que deux possibilités : soit il tue cet homme, auquel cas Précrime n'aura pas fonctionné, soit il ne le tue pas, rendant alors les prédictions fausses, et faisant s'écrouler Précrime…
À la vue de ce synopsis, on peut s'en douter : le scénario est signé Philip K. Dick. Avec un matériau de base aussi solide, et un réalisateur comme Steven Spielberg aux manettes, le film ne pouvait qu'être une réussite. Et clairement, il l'est ! Visuellement très réussi, porté par la musique toujours juste de John Williams, et interprété par des acteurs en forme (mention spéciale à Colin Farrell parfait dans ce rôle), ce classique instantané de la science-fiction se laisse toujours voir avec grand plaisir près de vingt ans après sa sortie.
Note : 8 / 10
Vu le 26 avril 2020
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage