Nous irons tous au paradis
Un an à peine après la sortie du très bon Un éléphant, ça trompe énormément, Yves Robert reprend la caméra pour nous conter la suite des aventures de ce groupe de gais lurons.
Cette fois, la situation de chacun semble s'être stabilisée et tous semblent heureux. Malheureusement, si après la pluie vient le beau temps, l'inverse n'en est pas moins vrai. Jean Rochefort découvre une photo de sa femme embrassant un inconnu, Claude Brasseur se voit contrait de refouler son homosexualité pour un mariage « arrangé », Guy Bedos voit la santé de sa mère décliner et Victor Lanoux, qui vivait un amour libre, se rend compte que sa partenaire jouit de bien plus de liberté que lui. Bref, les problèmes pleuvent soudain jusqu'à ce qu'un rayon de soleil apparaisse : les amis achètent une charmante villa équipée d'un terrain de tennis pour un prix modeste. Là encore, les problèmes ne tardent pas à arriver : la maison se situe sous un couloir aérien !
Moins original – évidemment – que le premier volet, on prend toutefois plaisir à retrouver cette bande de copains décrite par un Jean Rochefort à l'humour acerbe.
Note : 6 / 10
Cette fois, la situation de chacun semble s'être stabilisée et tous semblent heureux. Malheureusement, si après la pluie vient le beau temps, l'inverse n'en est pas moins vrai. Jean Rochefort découvre une photo de sa femme embrassant un inconnu, Claude Brasseur se voit contrait de refouler son homosexualité pour un mariage « arrangé », Guy Bedos voit la santé de sa mère décliner et Victor Lanoux, qui vivait un amour libre, se rend compte que sa partenaire jouit de bien plus de liberté que lui. Bref, les problèmes pleuvent soudain jusqu'à ce qu'un rayon de soleil apparaisse : les amis achètent une charmante villa équipée d'un terrain de tennis pour un prix modeste. Là encore, les problèmes ne tardent pas à arriver : la maison se situe sous un couloir aérien !
Moins original – évidemment – que le premier volet, on prend toutefois plaisir à retrouver cette bande de copains décrite par un Jean Rochefort à l'humour acerbe.
Note : 6 / 10
Vu le 16 décembre 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage