Saw III
Après Saw II, le IIIe volet s'imposait. Dans cette suite directe, on retrouve Donnie Wahlberg là où on l'avait laissé ; c'est-à-dire dans la salle de bain du premier film. Pourtant – comme si le réalisateur avait voulu changer de sujet – l'histoire de ce personnage s'arrête à peu près ici.
Le héros de ce film sera finalement Angus Macfadyen (le Père de substitution dans Equilibrium). Il incarne ici un père de famille dont le jeune fils a été tué par un chauffard. Le tueur au puzzle lui lance un double défi : outre des épreuves où il devra échapper à la mort, comme dans les premiers opus, il devra également sauver la vie d'autres victimes ligotées. Seul hic : il devra, pour chacune de ces personnes, choisir entre la sauver ou sauver des affaires ayant appartenu à feu son fils (peluches, jouets, etc.). Pire encore : ces personnes à sauver sont des gens ayant un lien direct avec la mort de son fils et le fait que le chauffard n'ait pas été incarcéré (par exemple une personne qui a vu la scène mais n'a pas témoigné).
Avec ce scénario, Darren Lynn Bousman se détache du concept original de James Wan et donne à la saga une vision plus personnelle. De fait, cet opus est bien meilleur que le second, sans toutefois valoir le premier qui avait le mérite de l'originalité. Une suite est une suite.
Note : 7 / 10
Le héros de ce film sera finalement Angus Macfadyen (le Père de substitution dans Equilibrium). Il incarne ici un père de famille dont le jeune fils a été tué par un chauffard. Le tueur au puzzle lui lance un double défi : outre des épreuves où il devra échapper à la mort, comme dans les premiers opus, il devra également sauver la vie d'autres victimes ligotées. Seul hic : il devra, pour chacune de ces personnes, choisir entre la sauver ou sauver des affaires ayant appartenu à feu son fils (peluches, jouets, etc.). Pire encore : ces personnes à sauver sont des gens ayant un lien direct avec la mort de son fils et le fait que le chauffard n'ait pas été incarcéré (par exemple une personne qui a vu la scène mais n'a pas témoigné).
Avec ce scénario, Darren Lynn Bousman se détache du concept original de James Wan et donne à la saga une vision plus personnelle. De fait, cet opus est bien meilleur que le second, sans toutefois valoir le premier qui avait le mérite de l'originalité. Une suite est une suite.
Note : 7 / 10
Vu le 13 novembre 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage