Spider-man 2
Deux ans après la sortie du premier opus, Sam Raimi reprend sa caméra pour la pointer sur les sommets des buildings new-yorkais à la recherche de Spider-man ; ce super-héros, qui, tel une araignée, est capable de projeter à vive allure de puissants câbles de soie par les poignets.
Cette fois, le héros qui avait vaincu le Bouffon vert du premier épisode devra vaincre le fils du Bouffon vert (James Franco)… Cette formalité passée, c'est un nouveau méchant qui verra le jour : le docteur Octopus ! Scientifique de génie, Octopus (Alfred Molina) parvient à construire un mini-Soleil tellement énergétique qu'il a besoin, pour le contrôler, de bras métalliques intelligents. Évidemment, lesdits bras se rebellent et prennent le contrôle du corps du malheureux (!).
Dans cet opus, le côté parodique du premier volet est largement renforcé. La meilleure scène restera probablement celle de la présentation du mini-Soleil qui atteint des sommets dans le grotesque.
S'en suit logiquement quelques effets-spéciaux, des combats impressionnants, un scénario béton (Spider-man arrête un train lancé à pleine vitesse avec 150 kg de toile d'araignée sortie de ses poignets), de l'amour, re-des combats, re-de l'amour.
Bref, Spider-man 2 ravira l'ado désireux de divertir son unique neurone valide pendant que sa copine se repassera l'intégrale de Twilight.
Note : 3 / 10
Cette fois, le héros qui avait vaincu le Bouffon vert du premier épisode devra vaincre le fils du Bouffon vert (James Franco)… Cette formalité passée, c'est un nouveau méchant qui verra le jour : le docteur Octopus ! Scientifique de génie, Octopus (Alfred Molina) parvient à construire un mini-Soleil tellement énergétique qu'il a besoin, pour le contrôler, de bras métalliques intelligents. Évidemment, lesdits bras se rebellent et prennent le contrôle du corps du malheureux (!).
Dans cet opus, le côté parodique du premier volet est largement renforcé. La meilleure scène restera probablement celle de la présentation du mini-Soleil qui atteint des sommets dans le grotesque.
S'en suit logiquement quelques effets-spéciaux, des combats impressionnants, un scénario béton (Spider-man arrête un train lancé à pleine vitesse avec 150 kg de toile d'araignée sortie de ses poignets), de l'amour, re-des combats, re-de l'amour.
Bref, Spider-man 2 ravira l'ado désireux de divertir son unique neurone valide pendant que sa copine se repassera l'intégrale de Twilight.
Note : 3 / 10
Vu le 8 décembre 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage