Star wars, épisode IV : un nouvel espoir
Pour beaucoup, Star wars est le film qui a révolutionné la science-fiction, au point de devenir, au même titre que la série Star trek ou les jeux de rôle, un élément irrémédiablement associé à la culture geek. Pour ma part, le film étant sorti en salles en 1977, il est clair qu'il ne s'agit pas d'un film de ma génération. Je n'ai pas baigné dans cet univers et n'avait gardé jusqu'alors qu'un vague souvenir des trois premiers épisodes (chronologiquement) et un très mauvais souvenir du premier épisode de la nouvelle trilogie. Je suis donc loin d'être un fan, mais je me devais, pour la culture du moins, de voir l'intégralité de la saga.
Un nouvel espoir, puisque c'est là le sous-titre de l'épisode, a la particularité d'être le seul des trois premiers films a avoir été réalisé par George Lucas (bien qu'il soit l'auteur des deux autres). C'est dans ce premier chapitre que nous sont présentés les personnages principaux (à l'exception de maître Yoda). On nous raconte ici comment le jeune Luke Skywalker (Mark Hamill) va s'élever du rang de petit pilote de véhicules de course sur une planète désertique perdue à pilote d'élite si adroit qu'il parviendra à détruire l'impressionnante Étoile noire. Bref, au niveau de la construction scénaristique, on retrouve tous les éléments caractéristiques du space opera, y compris l'inévitable « jolie » princesse en danger de mort (Carrie Fisher). Si il y a un bon point à retenir, ce ne sera certainement pas le scénario, mais plutôt l'ambiance assez immersive du film, renforcée dans sa version remasterisée par de jolis effets spéciaux modernisés (enfin jolis en ce qui concerne l'espace intersidéral et les vaisseaux… bien moins convaincants lors de la scène mettant en scène Jabba le Hutt).
En conclusion, ce premier volet de l'a trilogie est assez prometteur, car très immersif et car il présente des personnages forts (pas forcément interprétés par des acteurs à la hauteur, mais passons). Cependant, pour quelqu'un qui n'a pas grandi et vécu avec ce film, il est difficile de s'y attacher outre mesure, car il faut bien avouer que ce qui pouvait faire l'originalité du film à l'époque a été depuis revisité, retravaillé et dépassé. À l'instar de Matrix, Star wars a été un film novateur qui a depuis largement perdu en intérêt.
Note : 7 / 10
Un nouvel espoir, puisque c'est là le sous-titre de l'épisode, a la particularité d'être le seul des trois premiers films a avoir été réalisé par George Lucas (bien qu'il soit l'auteur des deux autres). C'est dans ce premier chapitre que nous sont présentés les personnages principaux (à l'exception de maître Yoda). On nous raconte ici comment le jeune Luke Skywalker (Mark Hamill) va s'élever du rang de petit pilote de véhicules de course sur une planète désertique perdue à pilote d'élite si adroit qu'il parviendra à détruire l'impressionnante Étoile noire. Bref, au niveau de la construction scénaristique, on retrouve tous les éléments caractéristiques du space opera, y compris l'inévitable « jolie » princesse en danger de mort (Carrie Fisher). Si il y a un bon point à retenir, ce ne sera certainement pas le scénario, mais plutôt l'ambiance assez immersive du film, renforcée dans sa version remasterisée par de jolis effets spéciaux modernisés (enfin jolis en ce qui concerne l'espace intersidéral et les vaisseaux… bien moins convaincants lors de la scène mettant en scène Jabba le Hutt).
En conclusion, ce premier volet de l'a trilogie est assez prometteur, car très immersif et car il présente des personnages forts (pas forcément interprétés par des acteurs à la hauteur, mais passons). Cependant, pour quelqu'un qui n'a pas grandi et vécu avec ce film, il est difficile de s'y attacher outre mesure, car il faut bien avouer que ce qui pouvait faire l'originalité du film à l'époque a été depuis revisité, retravaillé et dépassé. À l'instar de Matrix, Star wars a été un film novateur qui a depuis largement perdu en intérêt.
Note : 7 / 10
Vu le 15 mai 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage