The crying game
Neil Jordan frappe fort avec The crying game, un succès majeur après une décennie de carrière. Son succès suivant, Entretien avec un vampire, confirmera son talent.
Le film nous raconte l'histoire de Jody, un soldat britannique enlevé par l'IRA, Rapidement, l'homme lie des liens avec son geôlier, Fergus. L'intrigue, initialement centrée sur Jody (Forest Whitaker), laisserait présager un thriller psychologique sur le conflit IRA-armée britannique. Mais détrompez-vous ! Très tôt, Jody trouve une fin tragique, et Fergus (Stephen Rea) prend la relève. Il part à Londres pour tenir sa promesse envers la compagne de Jody, Dil, mais les surprises ne font que commencer. La rencontre avec Dil bouleverse l'intrigue, et un retournement majeur au milieu du film en modifie la nature. Malgré quelques hoquets de rythme, le scénario est solide, et le tandem Jaye Davidson/Stephen Rea fonctionne à merveille.
Neil Jordan réalise avec finesse, capturant l'atmosphère tendue et les virages inattendus. La photographie et la direction artistique contribuent à l'immersion.
The crying game est un tour de montagnes russes émotionnelles, mené par un scénario captivant et des performances marquantes. Malgré quelques irrégularités, c'est une œuvre à apprécier pour ses surprises et son audace. Cherchez l'inattendu, c'est à voir.
Note : 7 / 10
Le film nous raconte l'histoire de Jody, un soldat britannique enlevé par l'IRA, Rapidement, l'homme lie des liens avec son geôlier, Fergus. L'intrigue, initialement centrée sur Jody (Forest Whitaker), laisserait présager un thriller psychologique sur le conflit IRA-armée britannique. Mais détrompez-vous ! Très tôt, Jody trouve une fin tragique, et Fergus (Stephen Rea) prend la relève. Il part à Londres pour tenir sa promesse envers la compagne de Jody, Dil, mais les surprises ne font que commencer. La rencontre avec Dil bouleverse l'intrigue, et un retournement majeur au milieu du film en modifie la nature. Malgré quelques hoquets de rythme, le scénario est solide, et le tandem Jaye Davidson/Stephen Rea fonctionne à merveille.
Neil Jordan réalise avec finesse, capturant l'atmosphère tendue et les virages inattendus. La photographie et la direction artistique contribuent à l'immersion.
The crying game est un tour de montagnes russes émotionnelles, mené par un scénario captivant et des performances marquantes. Malgré quelques irrégularités, c'est une œuvre à apprécier pour ses surprises et son audace. Cherchez l'inattendu, c'est à voir.
Note : 7 / 10
Vu le 12 janvier 2024