X-men : l'affrontement final
Lâchée par Bryan Singer, la saga X-men se poursuit avec aux commandes Brett Ratner, le réalisateur des Rush hour pour le meilleur… euh… non, pour le pire !
Il faut dire aussi que la conclusion du deuxième épisode ne laissait plus vraiment de marge de manœuvre au réalisateur, mais ce n'est pas une excuse ! Comme son titre l'indique, cet opus est basé sur un affrontement final : celui des pro-humains contre les anti-humains. Le scénario est donc : les gentils vont à la base des méchants, ils se battent tous et le gentils gagnent… Wahou…!
Brett Ratner l'a bien compris : la force de la saga ne vient pas du scénario mais bien des effets-spéciaux et des mutants au charisme particulier. D'ailleurs, il n'hésite pas à intégrer un grand absent de la saga, aperçu très furtivement dans le deuxième volet : Le fauve ! Atrocement interprété par Kelsey Grammer, ce personnage – l'un des meilleurs de la série – perd ici tout son charme. Et que dire d'Angel (Ben Foster), complément ridicule en gentil ado…
Heureusement, Le fléau (Juggernaut), interprété par Vinnie Jones, est assez marrant sans pour autant rattraper quoi que ce soit dans ce navrant épisode.
Une déception, donc, à laquelle on ne pouvait que s'attendre. Dérivant sur le quasi-parodique, la scène de l'affrontement final, justement, est complètement affligeante, confuse et sans intérêt aucun.
Le premier épisode aurait pu se suffire à lui-même.
Note : 3 / 10
Il faut dire aussi que la conclusion du deuxième épisode ne laissait plus vraiment de marge de manœuvre au réalisateur, mais ce n'est pas une excuse ! Comme son titre l'indique, cet opus est basé sur un affrontement final : celui des pro-humains contre les anti-humains. Le scénario est donc : les gentils vont à la base des méchants, ils se battent tous et le gentils gagnent… Wahou…!
Brett Ratner l'a bien compris : la force de la saga ne vient pas du scénario mais bien des effets-spéciaux et des mutants au charisme particulier. D'ailleurs, il n'hésite pas à intégrer un grand absent de la saga, aperçu très furtivement dans le deuxième volet : Le fauve ! Atrocement interprété par Kelsey Grammer, ce personnage – l'un des meilleurs de la série – perd ici tout son charme. Et que dire d'Angel (Ben Foster), complément ridicule en gentil ado…
Heureusement, Le fléau (Juggernaut), interprété par Vinnie Jones, est assez marrant sans pour autant rattraper quoi que ce soit dans ce navrant épisode.
Une déception, donc, à laquelle on ne pouvait que s'attendre. Dérivant sur le quasi-parodique, la scène de l'affrontement final, justement, est complètement affligeante, confuse et sans intérêt aucun.
Le premier épisode aurait pu se suffire à lui-même.
Note : 3 / 10
Vu le 12 novembre 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage