Difficile de passer à côté de ce qui est devenu un véritable phénomène de société ! Démocratisant la théorie du complot, tout a débuté avec le buzz provoqué par la diffusion sur Internet, puis à la télévision sur la chaine Planète du documentaire Loose change, réalisé par Dylan Avery. On peut effectivement parler de buzz puisque la vidéo en question a été l’une des plus vues de toute la toile et le DVD a été vendu à plus d’un million d’exemplaires ! « Mouais… Une opportunité financière facile sur un drame planétaire ! »… Pas si sûr. Explications :
Avant d’accuser qui que ce soit de quoi que ce soit, un retour sur les faits s’impose. Tout commence le 11 septembre 2001, à 8h48, où un premier avion percute l’une des tours du World Trade Center, à New-York. Ce premier événement à lui seul est lourd de sens, car il est théoriquement inenvisageable ! En effet, il existe aux États-Unis (comme à peu près partout ailleurs dans le monde) des procédures de défense en cas d’anomalie aérienne. En fait, 14 avions de chasse supersoniques sont prêts, 24h/24, à décoller en cas de danger… et un Boeing 757 qui quitte sa trajectoire pour se diriger vers New-York, sans aucune communication radio, c’est clairement un danger ! Justement, le premier avion coupe la liaison radio à 8h14, soit 34 minutes avant l’impact. Le premier chasseur, lui, décolle à 8h44… efficace, la première puissance mondiale ! De plus, les quelques rares avions à avoir décollé se sont montrés incapables d’approcher ne serait-ce qu’un seul des quatre avions « détournés ».
Bref, le premier avion s’écrase, puis est très vite rejoint par le deuxième. Les tours sont en feu, c’est la panique. Soudain, à 9h58 (56 minutes après l’impact), la tour sud s’effondre en 10 secondes, par un phénomène miraculeux. En effet, d’après le rapport officiel, la tour s’est écroulée à cause de l’incendie déclenché qui aurait fait s’affaisser un étage élevé qui, en tombant sur celui du dessous, l’aurait fait s’écrouler, entraînant la chute d’une troisième étage, etc. Cependant, si l’on veut bien croire que l’incendie ait pu faire une chose pareille (un building a brûlé sans s’écrouler pendant plus de 12 heures à Madrid), il reste deux éléments assez troublants ! Ceux qui ont déjà joué au Jenga concevront que lorsqu’un édifice s’écroule, il est bien évident qu’il ne s’effondrera pas « droit »… Ça fera au mieux un tas qui ne ressemblera à rien, au pire, ça éparpillera des pans de mur partout autour des fondations. Dans le cas du mystérieux Wold Trade Center, les deux tours se sont effondrées exactement dans leurs fondations. Quel talent ces terroristes ! (qui, soit dit en passant, étaient considérés comme de piètres pilotes, et pire, comme des alcooliques à la libido très active… on fait mieux comme fervents musulmans). Bref, ceci est le premier point : la façon dont les tours se sont effondrées est particulièrement suspecte. Le deuxième point est la vitesse de chute, qui est celle de la chute libre ; ce qui signifie que les étages, en tombant, n’ont pas été ralentis par les étages inférieurs ; autrement dit, ils n’ont rencontrés aucune résistance. C’est comme si l’étage le plus élevé avait été lâché dans le vide. Surprenant ! Surtout pour des tours qui avaient été conçues, des propres mots de l’architecte, pour résister à l’impact du plus gros avion de l’époque, par très différent d’un Boeing 757. Selon le rapport officiel, l’architecte en question n’avait pas pensé au kérosène inflammable que pouvait contenir cet avion… Mouais… Si l’architecte est de ce niveau, on peut se demander légitimement pourquoi les tours ne se sont pas effondrées bien plus tôt !
Le plus troublant concernant ce site du WTC (je viendrais aux autres plus tard) est un bâtiment dont on n’a pas du tout parlé au moment des faits : le bâtiment 7. Cet imposant building était composé de 47 étages mais, à la différence de WTC1 et 2, n’avait pas l’aspect d’une tour. Il avait plutôt la forme d’un carré. Ce bâtiment n’a pas été percuté par quelque avion que ce soit. Il n’avait reçu aucun gros débris… Cependant, un petit incendie s’était déclenché à l’intérieur. Alors que les pompiers s’approchaient pour le maîtriser, Larry Silverstein, le locataire des tours, a dit à ces pompiers de s’éloigner, car ils allaient « tirer » l’immeuble. « Tirer » est un terme spécifique au domaine de la démolition contrôlée (technique permettant de faire s’effondrer un bâtiment à l’aide d’explosifs ; le bâtiment ainsi détruit s’écroule dans ses fondations à la vitesse de la chute libre… on en conclura ce qu’on voudra). Effectivement, le WTC7 s’écroule proprement quelques secondes plus tard. Ce building à la destruction incompréhensible contenait des documents de la CIA, et les dossiers concernant certaines grandes fraudes américaines, comme Enron. Ces documents, dont il n’existe aucune copies, sont perdus à jamais.
Pour finir sur le cas du World Trade Center, il faut préciser quelques éléments, en vrac, assez troublants :
– Larry Silverstein a obtenu la location du WTC sept semaines avant les attentats et a obtenu (en plus du contrat exclusif de reconstruction) 7,1 milliards de dollars de ses assureurs. 7,1 milliards, c’est deux fois 3,55. 3,55 milliards, c’est la somme qu’il touchait en cas d’attentat… mais ici, il y a eu deux attentats que Larry Silverstein a réussi à faire reconnaitre indépendants. Jackpot !
– Le week-end qui précédait le 11 septembre, des « agents de la maintenance » (dont on ne connait rien) se sont introduits dans les tours jumelles pour effectuer « divers travaux », obtenant la coupure intégrale du courant (oui, celui avec lequel sont alimentées les caméras de surveillance) ainsi que le retrait des agents de sécurité, et aussi (et surtout ?) celui de leurs chiens détecteurs d’explosifs.
– Les témoins des effondrements affirment avoir entendu une succession d’explosions au moment de la chute.
– Sous une vingtaine de centimètres de cendre et de gravats, les passeports des terroristes ont été retrouvés, comme neufs !
– George Bush, alors dans une école maternelle, apprenant que la deuxième tour avait été frappée, a fait comme si de rien n’était et a continué la lecture aux enfants.
– D’étranges spéculations boursières ont porté sur la valeur des actions des compagnies aériennes américaines quelques jours avant les attentats.
Comme un mystère n’arrive jamais seul, parlons un peu du troisième avion : celui qui a percuté le Pentagone. Là encore, pas la peine de s’attarder sur l’étrangeté des avions de chasse, absolument incapables d’intercepter un avion de ligne piloté par un débutant saoul fonçant sur le bâtiment le plus protégé au monde ! Là, par un phénomène inexplicable, l’un des plus gros avions de ligne au monde s’enfonce à pleine dans un immeuble haut de 24 mètres seulement sans toucher le sol (il s’agit là d’une manoeuvre digne du plus émérite des pilotes) en ne laissant qu’un trou de 4 mètres 50 de diamètre ! Aucune trace de l’impact des ailes ou des réacteurs ! Probablement se sont-elles détachées avant l’impact ? Oui, mais alors il faut admettre que celles-ci se sont pulvérisées, car il ne restait plus rien de l’avion après l’impact ! En fait, les seuls éléments que l’on ait retrouvés sur place sont un réacteur de petit avion (les terroristes avaient-ils des réacteurs de rechange sur eux ?), quelques pièces pas plus grosses que la main et… le passeport du terroriste ! Bon, il était abîmé, c’est vrai. Heureusement, la photo, le nom et le prénom étaient encore visibles ! Ouf, quel soulagement… Le plus triste à propos de ce troisième avion, c’est qu’il est impossible de voir les cassettes de vidéosurveillance, car le FBI a tout confisqué. Dommage, on ne verra pas le cas unique au monde d’avion qui se désintègre par magie ! Oh ! Que dis-je ? Ce cas n’est pas unique ! Il y a eu en effet un deuxième cas d’évaporation d’avion. Il s’agit du vol 93 United Airlines, qui s’est écrasé en Pennsylvanie le… 11 septembre 2001.
Effectivement, le quatrième avion, dont on a peu entendu parler s’est écrasé en pleine Pennsylvanie, près de Shanksville, en ne laissant qu’un cratère quasi-vide. Seuls quelques débris – là encore, pas plus gros que le poing – restaient sur place, dispersés à des kilomètres à la ronde.
Peu de temps après, les États-Unis déclenchent la guerre à l’Iraq après y avoir trouvé… Ah ? Non, pardon, sans avoir trouvé de terribles armes de destruction massive. Moralité : on pensera ce qu’on voudra sur cette affaire, mais il est indéniable que la version officielle ne tient pas la route… Et il resterait encore bien des points troublants à soulever à propos de cette journée qui restera dans l’histoire. Saurons-nous un jour la vérité ? Peut-être. Quoi qu’il en soit, la meilleure arme qu’il nous reste est l’esprit critique.
Si mes souvenirs sont bons, les journalistes ont un peu parlé du quatrième avion le jour même des attentats, puis, comme s’il n’y en avait jamais eu, ont subitement cessé d’en parler une fois la « surprise » du 11 septembre passée. Dans tous les cas, avec le peu que nous savons ou croyons savoir, la seule arme qu’il nous reste demeure bel et bien l’esprit critique, de nos jours malheureusement en voie de disparition…
Très bon résumé ! Et c’est clair qui nous prennent vraiment pour des c**s !