Adieu les cons
Pour son septième film en tant que réalisateur, Philippe Guillaume Albert Dupontel s'octroie pour la septième fois le rôle principal. Ici, il joue le rôle d'un type paumé qui décide d'en finir avec la vie. Alors que la balle évite le crâne du hacker quinquagénaire pour se loger dans un agent administratif, Virginie Efira, en phase terminale de sa maladie, recherche, elle, son fils né sous X alors qu'elle était encore adolescente. Les deux hères joindront leurs compétences pour l'aider dans sa quête. Un Nicolas Marié aveugle et tout aussi paumé se joindra à eux.
Alors que les critiques sont dithyrambiques, ce film est dans la pure lignée de ce que fait le réalisateur habituellement. Oui, certaines scènes sont assez émouvantes, mais tout est tellement caricatural qu'il est difficile de s'attacher à ces personnages (à part le duo Jackie Berroyer / Catherine Davenier qui est parfait).
Un joli film, oui. Un bon film, oui, certainement. Mais un film qui ne mérite pas tout ce tapage, et toutes ces récompenses aux Césars (meilleur film, réalisation, acteur dans un second rôle, scénario original, photographie, et décors !). À voir, donc, mais ce n'est pas le film de l'année.
Note : 6 / 10
Alors que les critiques sont dithyrambiques, ce film est dans la pure lignée de ce que fait le réalisateur habituellement. Oui, certaines scènes sont assez émouvantes, mais tout est tellement caricatural qu'il est difficile de s'attacher à ces personnages (à part le duo Jackie Berroyer / Catherine Davenier qui est parfait).
Un joli film, oui. Un bon film, oui, certainement. Mais un film qui ne mérite pas tout ce tapage, et toutes ces récompenses aux Césars (meilleur film, réalisation, acteur dans un second rôle, scénario original, photographie, et décors !). À voir, donc, mais ce n'est pas le film de l'année.
Note : 6 / 10
Vu le 4 mai 2021
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage