Alien, le huitième passager
2122. Le Nostromo, cargo spatial chargé de minéraux, fait route vers la Terre après un long voyage. Les sept membres de l'équipage sortent de leur stase cryogénique, puis, après un temps d'adaptation, retournent à leurs postes, prêts à atterrir. C'est alors que la stupeur s'empare du petit groupe : ils ne sont pas du tout arrivés ! Maman, l'ordinateur de bord, les a tirés de leur sommeil, car elle a intercepté un signal. Probablement un SOS. Se rendant sur la planète d'origine du message, ils découvrent un immense vaisseau spatial à l'abandon depuis des temps immémoriaux ; surtout, ils découvrent des œufs qui abritent des créatures encore en vie. L'une de ces sorte d'araignées visqueuses parvient à s'agripper au visage d'un astronaute, contraint à regagner le vaisseau. Lequel vaisseau abrite dès lors un étranger…
Quarante ans après sa sortie, ce film reste toujours aussi bon. Le rythme est excellent, les acteurs ne sont pas en reste, portés par Ian Holm et surtout par Sigourney Weaver qui crève l'écran. Les effets spéciaux n'ont pas vieillis, bien que les technologies futuristes aient désormais perdues de leur superbe. La créature reste toujours aussi effrayante, et la musique de Jerry Goldsmith toujours aussi immersive.
Bref, un classique du cinéma de science-fiction et du cinéma horrifique qui n'a pas pris une ride. On peut cependant regretter la mauvaise qualité sonore de la piste française qui comportait de grands noms du doublage, comme Tania Torrens, Georges Aminel ou l'excellent Alain Dorval.
Note : 9 / 10
Quarante ans après sa sortie, ce film reste toujours aussi bon. Le rythme est excellent, les acteurs ne sont pas en reste, portés par Ian Holm et surtout par Sigourney Weaver qui crève l'écran. Les effets spéciaux n'ont pas vieillis, bien que les technologies futuristes aient désormais perdues de leur superbe. La créature reste toujours aussi effrayante, et la musique de Jerry Goldsmith toujours aussi immersive.
Bref, un classique du cinéma de science-fiction et du cinéma horrifique qui n'a pas pris une ride. On peut cependant regretter la mauvaise qualité sonore de la piste française qui comportait de grands noms du doublage, comme Tania Torrens, Georges Aminel ou l'excellent Alain Dorval.
Note : 9 / 10
Vu le 10 octobtre 2009
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage