Le Domaine des dieux
Jules César, cherchant à civiliser les Gaulois, décide d'encercler leur village en construisant un domaine résidentiel, le « Domaine des dieux ». Le projet vise à priver les Gaulois de leur forêt, les affaiblissant ainsi. Astérix, Obélix, et Panoramix s'opposent évidemment aux travaux en utilisant la magie pour faire repousser les arbres et inciter la révolte parmi les esclaves.
La situation se complexifie lorsque les esclaves, au lieu de se révolter, négocient avec l'architecte pour de meilleures conditions de travail.
Le domaine des dieux marque un retour des héros au village après leurs aventures helvétiques. Les albums centrés sur le village peuvent parfois manquer du dynamisme des voyages à l'étranger, et celui-ci ne fait pas exception. Bien que l'humour ne soit pas aussi prédominant, l'album compense par une critique acerbe du capitalisme et des promoteurs immobiliers.
Graphiquement, l'album est riche, avec des planches évocatrices de la forêt gauloise, des représentations architecturales détaillées, et le génial « impliable », une parodie de dépliant superbement réalisée. L'esthétique globale contribue au charme visuel de l'aventure.
En somme, cet album offre un divertissement solide, soutenu par son illustration soignée et sa critique sociale. Bien que moins palpitant que certaines aventures en terres étrangères, il constitue une lecture engageante, particulièrement pour ceux qui apprécient une réflexion sociale subtile au cœur de l'humour gaulois.
Note : 7 / 10
La situation se complexifie lorsque les esclaves, au lieu de se révolter, négocient avec l'architecte pour de meilleures conditions de travail.
Le domaine des dieux marque un retour des héros au village après leurs aventures helvétiques. Les albums centrés sur le village peuvent parfois manquer du dynamisme des voyages à l'étranger, et celui-ci ne fait pas exception. Bien que l'humour ne soit pas aussi prédominant, l'album compense par une critique acerbe du capitalisme et des promoteurs immobiliers.
Graphiquement, l'album est riche, avec des planches évocatrices de la forêt gauloise, des représentations architecturales détaillées, et le génial « impliable », une parodie de dépliant superbement réalisée. L'esthétique globale contribue au charme visuel de l'aventure.
En somme, cet album offre un divertissement solide, soutenu par son illustration soignée et sa critique sociale. Bien que moins palpitant que certaines aventures en terres étrangères, il constitue une lecture engageante, particulièrement pour ceux qui apprécient une réflexion sociale subtile au cœur de l'humour gaulois.
Note : 7 / 10
Lu le 23 décembre 2023