Choke
Chuck Palahniuk au cinéma, c'est avant tout l'excellent Fight club, mais c'est aussi Choke. Ce sera Clark Gregg qui se chargera de la réalisation pour son tout premier film en tant que réalisateur (il officie habituellement en tant qu'acteur, que l'on peut voir en agent du SHIELD dans Iron man 1 et 2, Thor et bientôt Captain America puis The avengers).
L'histoire de Choke est celle d'un drôle de type campé par le très bon Sam Rockwell qui souffre d'un trouble qui ne semble déranger que son entourage : il est une espèce de prédateur sexuel, sautant sur tout ce qui bouge et qui a des seins. Pour se soigner, il participe à une thérapie de groupe à l'instar du Tyler Durden de Fight club. Évidemment, la fréquentation de ce lieu, plutôt que de le soigner effectivement, lui permet de rencontrer des partenaires tout aussi délurées que lui.
Parallèlement, le bonhomme travaille en tant que figurant dans un village historique représentant l'Amérique du XVIIIe siècle.
Bref, c'est la routine pour Victor – puisque c'est ainsi qu'il s'appelle – jusqu'au jour où, au cours de l'une de ses visites quasi quotidiennes à sa mère qui est à l'hôpital, il apprend que son père n'est pas celui qu'il croyait… Cet événement va changer sa vie.
Évidemment – ça se saurait – le scénario n'est pas aussi puissant que Fight club, mais le style de l'auteur américain est clairement présent. On y retrouve donc avec plaisir cette critique du système et cette plongée dans les méandres surprenants de l'esprit humain.
Comme c'était le cas pour son aîné, le film s'achève sur une amusante surprise qui, quoique prévisible , donne un certain piquant au film.
Bref, le scénario est sympa et les acteurs sont bons - en particulier Sam Rockwell, Kelly Macdonald et Anjelica Huston. Sans rester dans les anales, Choke est un film à voir.
Note : 7 / 10
L'histoire de Choke est celle d'un drôle de type campé par le très bon Sam Rockwell qui souffre d'un trouble qui ne semble déranger que son entourage : il est une espèce de prédateur sexuel, sautant sur tout ce qui bouge et qui a des seins. Pour se soigner, il participe à une thérapie de groupe à l'instar du Tyler Durden de Fight club. Évidemment, la fréquentation de ce lieu, plutôt que de le soigner effectivement, lui permet de rencontrer des partenaires tout aussi délurées que lui.
Parallèlement, le bonhomme travaille en tant que figurant dans un village historique représentant l'Amérique du XVIIIe siècle.
Bref, c'est la routine pour Victor – puisque c'est ainsi qu'il s'appelle – jusqu'au jour où, au cours de l'une de ses visites quasi quotidiennes à sa mère qui est à l'hôpital, il apprend que son père n'est pas celui qu'il croyait… Cet événement va changer sa vie.
Évidemment – ça se saurait – le scénario n'est pas aussi puissant que Fight club, mais le style de l'auteur américain est clairement présent. On y retrouve donc avec plaisir cette critique du système et cette plongée dans les méandres surprenants de l'esprit humain.
Comme c'était le cas pour son aîné, le film s'achève sur une amusante surprise qui, quoique prévisible , donne un certain piquant au film.
Bref, le scénario est sympa et les acteurs sont bons - en particulier Sam Rockwell, Kelly Macdonald et Anjelica Huston. Sans rester dans les anales, Choke est un film à voir.
Note : 7 / 10
Vu le 7 juillet 2011