Les herbes folles
Souvent considéré comme l'un des meilleurs réalisateurs français (chacun se fera son avis), Alain Resnais est surtout un sacré barjo. Les herbes folles ne fera que confirmer cette folie ! Dès la bande-annonce, on comprend qu'on ne comprendra rien…
Le début du film pourtant est assez classique : André Dussollier trouve un portefeuille sur le parking d'un centre commercial. Curieux, il l'ouvre avant de l'apporter au commissariat. Il y découvre des photos d'identité de Sabine Azéma. C'est le coup de foudre. Mais étant déjà marié, sa passion devra rester secrète et va se muer rapidement en obsession malsaine.
Par la suite, plus le film avance, plus il s'enfonce dans un délire incompréhensible jusqu'à s'achever par un plan montrant un petit garçon et sa mère (que l'on n'avait évidemment jamais vu dans le film jusqu'à présent). Le petit garçon demande alors à sa mère : « maman, quand je serai un chat, est-ce que je pourrai manger des croquettes ? ». L'apothéose.
Complètement déjanté et conceptuel, donc, le film reste amusant à voir, mais ça ne va guère plus loin.
Note : 5 / 10
Le début du film pourtant est assez classique : André Dussollier trouve un portefeuille sur le parking d'un centre commercial. Curieux, il l'ouvre avant de l'apporter au commissariat. Il y découvre des photos d'identité de Sabine Azéma. C'est le coup de foudre. Mais étant déjà marié, sa passion devra rester secrète et va se muer rapidement en obsession malsaine.
Par la suite, plus le film avance, plus il s'enfonce dans un délire incompréhensible jusqu'à s'achever par un plan montrant un petit garçon et sa mère (que l'on n'avait évidemment jamais vu dans le film jusqu'à présent). Le petit garçon demande alors à sa mère : « maman, quand je serai un chat, est-ce que je pourrai manger des croquettes ? ». L'apothéose.
Complètement déjanté et conceptuel, donc, le film reste amusant à voir, mais ça ne va guère plus loin.
Note : 5 / 10
Vu le 14 août 2010