Once upon a time… in Hollywood
Deuxième plus gros succès de Tarantino à sa sortie (derrière Django unchained, mais devant Inglourious basterds), ce film a obtenu d'excellentes critiques, que ce soit de la part de la presse ou des spectateurs. Vaut-il effectivement la peine de passer près de trois heures devant un écran ?
On suit ici la vie de Leonardo DiCaprio, acteur de série en vogue dans l'Hollywood de la fin des années 60 qui souhaite réorienter sa carrière vers le cinéma, aidé par son cascadeur de toujours, Brad Pitt. Par le plus grand des hasards, il se trouve que la vedette est le voisin d'un couple mythique de cette période : Roman Polanski et Sharon Tate (Margot Robbie)…
Connaissant le couple, on se doute bien de comment les choses vont finir ! (…ou pas)
Nous suivons, donc, la vie quotidienne d'un acteur sans grand talent, ni sans intérêt finalement. De fait, on s'ennuie ferme ! Alors oui, tout est truffé de références à cette période et à Hollywood. Oui, certaines scènes sont très bien faites, et amusantes (la scène avec Bruce Lee ou celle avec le lance-flammes), mais bon, vraiment, tout cela est bien léger.
Un joli gâteau insipide. Dommage.
Note : 6 / 10
On suit ici la vie de Leonardo DiCaprio, acteur de série en vogue dans l'Hollywood de la fin des années 60 qui souhaite réorienter sa carrière vers le cinéma, aidé par son cascadeur de toujours, Brad Pitt. Par le plus grand des hasards, il se trouve que la vedette est le voisin d'un couple mythique de cette période : Roman Polanski et Sharon Tate (Margot Robbie)…
Connaissant le couple, on se doute bien de comment les choses vont finir ! (…ou pas)
Nous suivons, donc, la vie quotidienne d'un acteur sans grand talent, ni sans intérêt finalement. De fait, on s'ennuie ferme ! Alors oui, tout est truffé de références à cette période et à Hollywood. Oui, certaines scènes sont très bien faites, et amusantes (la scène avec Bruce Lee ou celle avec le lance-flammes), mais bon, vraiment, tout cela est bien léger.
Un joli gâteau insipide. Dommage.
Note : 6 / 10
Vu le 26 janvier 2020
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage