Jusqu'à la garde
Léa Drucker et Denis Ménochet divorcent, et, lors du passage devant le juge, l'ex-épouse demande la garde exclusive de leurs deux enfants, accusant le père d'être violent. Celui-ci, en pleurs, assure qu'il ne pourrait jamais faire de mal à ses enfants, et qu'il souhaite simplement pouvoir passer du temps avec eux.
Rapidement, on se rend compte qu'effectivement, ce père est loin d'être aussi exemplaire qu'il le prétend.
Parfaitement maîtrisé, le film nous enfonce, avec la mère, dans la peur et l'horreur, tout en restant parfaitement réaliste en étant porté par un Denis Ménochet magistral (nominé au César du meilleur acteur).
Bref, un film coup de poing, particulièrement bien réalisé, qui vaut le coup d'œil.
Note : 7 / 10
Rapidement, on se rend compte qu'effectivement, ce père est loin d'être aussi exemplaire qu'il le prétend.
Parfaitement maîtrisé, le film nous enfonce, avec la mère, dans la peur et l'horreur, tout en restant parfaitement réaliste en étant porté par un Denis Ménochet magistral (nominé au César du meilleur acteur).
Bref, un film coup de poing, particulièrement bien réalisé, qui vaut le coup d'œil.
Note : 7 / 10
Vu le 17 avril 2020
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage