Jurassic world : le monde d'après
Colin Trevorrow est de retour dans le monde des dinosaures avec Jurassic world : le monde d'après. Après avoir secoué la franchise avec Jurassic world, qui n'était autre qu'un remake à peine dissimulé du premier film, on se demandait ce qu'il allait bien pouvoir inventer cette fois-ci. La réponse, est « n'importe quoi » ! Trevorrow tente de réunir les deux trilogies en ressuscitant les mythiques Alan Grant, Ian Malcolm et Ellie Sattler. Une idée qui aurait pu être géniale, car au-delà des dinosaures, c'est bien ce que les fans attendent. Malheureusement, l'exécution est plus décevante qu'un plat surgelé.
Quatre ans après l'éruption volcanique cataclysmique sur Isla Nublar et les événements du manoir Lockwood, les dinosaures se baladent librement sur Terre. Claire Dearing et Owen Grady sont toujours dans le coin, occupés à s'occuper secrètement de Maisie Lockwood, la petite-fille clonée de Benjamin Lockwood. Les dinosaures sont désormais partout, mais au lieu de plonger dans une exploration fascinante de la coexistence humain-dinosaure, le film nous traîne dans une histoire écologique douteuse impliquant une entreprise maléfique, des sauterelles géantes et des clones.
Le scénario s'effondre comme une maison de cartes frappée par un stégosaure. On nous promettait le retour des personnages emblématiques, mais leur présence est plus superflue qu'un parapluie en plein Soleil. L'histoire de la famille Lockwood et les clones de sauterelles n'ont rien d'excitant. On se retrouve avec un manichéisme outrancier, un méchant industriel qui accumule les clichés comme un collectionneur de timbres.
Avec un budget de 160 millions de dollars, on pouvait s'attendre à des effets spéciaux époustouflants. Malheureusement, on se retrouve avec des dinosaures aussi crédibles qu'un diplodocus en plastique dans un musée pour enfants. Les CGI sont un véritable ratage, et la réalisation manque de grandeur et de lisibilité. Les dialogues sont préoccupants, les musiques sont ratées, et le film semble long, très long, pour une aventure qui aurait dû être épique.
Les acteurs semblent en pilotage automatique, peut-être conscients du naufrage cinématographique qui se profile. Personne ne semble vraiment se donner à fond, et les dialogues ne les aident pas à briller.
Ce Monde d'après promettait une conclusion épique à la trilogie, mais il s'avère être un blockbuster raté. Entre des effets spéciaux peu inspirés, un scénario bancal et des performances d'acteurs en demi-teinte, le film déçoit sur tous les fronts. Trevorrow aurait peut-être dû laisser les dinosaures en paix.
Note : 4 / 10
Quatre ans après l'éruption volcanique cataclysmique sur Isla Nublar et les événements du manoir Lockwood, les dinosaures se baladent librement sur Terre. Claire Dearing et Owen Grady sont toujours dans le coin, occupés à s'occuper secrètement de Maisie Lockwood, la petite-fille clonée de Benjamin Lockwood. Les dinosaures sont désormais partout, mais au lieu de plonger dans une exploration fascinante de la coexistence humain-dinosaure, le film nous traîne dans une histoire écologique douteuse impliquant une entreprise maléfique, des sauterelles géantes et des clones.
Le scénario s'effondre comme une maison de cartes frappée par un stégosaure. On nous promettait le retour des personnages emblématiques, mais leur présence est plus superflue qu'un parapluie en plein Soleil. L'histoire de la famille Lockwood et les clones de sauterelles n'ont rien d'excitant. On se retrouve avec un manichéisme outrancier, un méchant industriel qui accumule les clichés comme un collectionneur de timbres.
Avec un budget de 160 millions de dollars, on pouvait s'attendre à des effets spéciaux époustouflants. Malheureusement, on se retrouve avec des dinosaures aussi crédibles qu'un diplodocus en plastique dans un musée pour enfants. Les CGI sont un véritable ratage, et la réalisation manque de grandeur et de lisibilité. Les dialogues sont préoccupants, les musiques sont ratées, et le film semble long, très long, pour une aventure qui aurait dû être épique.
Les acteurs semblent en pilotage automatique, peut-être conscients du naufrage cinématographique qui se profile. Personne ne semble vraiment se donner à fond, et les dialogues ne les aident pas à briller.
Ce Monde d'après promettait une conclusion épique à la trilogie, mais il s'avère être un blockbuster raté. Entre des effets spéciaux peu inspirés, un scénario bancal et des performances d'acteurs en demi-teinte, le film déçoit sur tous les fronts. Trevorrow aurait peut-être dû laisser les dinosaures en paix.
Note : 4 / 10
Vu le 19 janvier 2023
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage