La crème de la crème
C'est après deux films assez sombres (Sheitan en 2005, puis Dog pound en 2009) que Kim Chapiron revient au cinéma avec ce film qui vient torpiller les codes du teen movie.
On découvre ici un groupe d'amis en train de se former dans une grande école de commerce parisienne. Parmi eux, Alice Isaaz, Jean-Baptiste Lafarge et Thomas Blumenthal, qui décident – un peu forcés par le destin – de créer un réseau de prostitution au sein même de l'école.
Le scénario apparaît rapidement bancal, voire incohérent. Peu importe : il s'agit plutôt ici d'un film d'ambiance. Et si on retrouve bien cette atmosphère de campus, il faut bien avouer que ça dessert le propos, car les dialogues lors des soirées sont bien souvent inaudibles, noyés sous la musique. Les acteurs, quant à eux, s'en sortent bien, mais les dialogues, pour y revenir, sonnent souvent faux (quand on a la chance de les entendre).
Au final, on ne sait pas trop à qui s'adresse le réalisateur, et si le film se laisse suivre sans déplaisir, on aura du mal à ne pas rester sur sa faim.
Note : 5 / 10
On découvre ici un groupe d'amis en train de se former dans une grande école de commerce parisienne. Parmi eux, Alice Isaaz, Jean-Baptiste Lafarge et Thomas Blumenthal, qui décident – un peu forcés par le destin – de créer un réseau de prostitution au sein même de l'école.
Le scénario apparaît rapidement bancal, voire incohérent. Peu importe : il s'agit plutôt ici d'un film d'ambiance. Et si on retrouve bien cette atmosphère de campus, il faut bien avouer que ça dessert le propos, car les dialogues lors des soirées sont bien souvent inaudibles, noyés sous la musique. Les acteurs, quant à eux, s'en sortent bien, mais les dialogues, pour y revenir, sonnent souvent faux (quand on a la chance de les entendre).
Au final, on ne sait pas trop à qui s'adresse le réalisateur, et si le film se laisse suivre sans déplaisir, on aura du mal à ne pas rester sur sa faim.
Note : 5 / 10
Vu le 7 mai 2021
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage