La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre
Mythomane et bipolaire, l'écrivain américain A. J. Finn a rencontré un grand succès avec son premier (et unique à ce jour) roman, La femme à la fenêtre. Trois ans seulement après sa parution, l'œuvre est adaptée en film Netflix, puis, un an après, et toujours sur Netflix, sous forme d'une série.
On suit ici Kristen Bell, artiste peintre (et pas psychologue, comme dans le livre, parce que sinon, ça se voyait trop que c'était pompé sur Copycat) qui vit hantée par un drame dont elle ne parvient pas à se remettre. Alors qu'elle a sombré dans l'alcoolisme, un nouveau voisin, Tom Riley emménage en face de chez elle. Le jeune homme, séduisant, s'avère être veuf, et vit avec sa jeune fille. En plus de passer ses journées à boire, l'artiste passe également une partie de son temps à sa fenêtre, espionnant le voisinage. C'est là qu'un soir, elle sera témoin d'un meurtre ! La police croira-t-elle cette alcoolique notoire en l'absence du moindre élément de preuve ?
En huit épisodes seulement, cette mini-série nous offre un suspens maîtrisé tout en ne souffrant pas de temps morts. Malgré son titre beaucoup trop long, cette œuvre se regarde avec plaisir, et offre une conclusion originale assez bienvenue. Dommage que la réalisation soit un peu plate, et que le casting – en dehors du rôle-titre – soit un peu à la traîne.
Note : 7 / 10
On suit ici Kristen Bell, artiste peintre (et pas psychologue, comme dans le livre, parce que sinon, ça se voyait trop que c'était pompé sur Copycat) qui vit hantée par un drame dont elle ne parvient pas à se remettre. Alors qu'elle a sombré dans l'alcoolisme, un nouveau voisin, Tom Riley emménage en face de chez elle. Le jeune homme, séduisant, s'avère être veuf, et vit avec sa jeune fille. En plus de passer ses journées à boire, l'artiste passe également une partie de son temps à sa fenêtre, espionnant le voisinage. C'est là qu'un soir, elle sera témoin d'un meurtre ! La police croira-t-elle cette alcoolique notoire en l'absence du moindre élément de preuve ?
En huit épisodes seulement, cette mini-série nous offre un suspens maîtrisé tout en ne souffrant pas de temps morts. Malgré son titre beaucoup trop long, cette œuvre se regarde avec plaisir, et offre une conclusion originale assez bienvenue. Dommage que la réalisation soit un peu plate, et que le casting – en dehors du rôle-titre – soit un peu à la traîne.
Note : 7 / 10
Vu le 14 avril 2022