
Quatre ans après
Polisse,
Maïwenn revient à la réalisation pour traiter cette fois d'une psychopathologie : la perversion narcissique.
On suit ici le quotidien d'un couple :
Emmanuelle Bercot et un
Vincent Cassel manipulateur et dominateur.
Si, finalement, le film ne raconte pas grand-chose, il décrit parfaitement les relations toxiques que peuvent vivre les personnes sous l'emprise d'un individu intrinsèquement mauvais pour son entourage.
Un film intéressant, donc, et qui a le mérite d'être bien rythmé, et prenant.
Pour plus d'informations sur ce sujet d'utilité publique qu'est la perversion narcissique, n'hésitez pas à consulter
cet excellent article d'Erwan Bracchi.
Note :
7 / 10