Solomon Kane
Robert E. Howard, le papa de Conan le barbare, est aussi auteur d'un recueil de nouvelles centrées sur un personnage sombre et mystérieux : Solomon Kane. Cet homme est une espèce de fanatique religieux, lutant avec fougue (et probablement excès de zèle) contre les forces du mal.
Le réalisateur Michael J. Bassett fera le choix de faire évoluer Solomon dans un univers plus réaliste et transposera l'action dans l'Angleterre du XVIe siècle. Évidemment, cet aspect fera perdre une part du mystère qui entoure Solomon Kane et l'amputera donc d'un peu de charisme ; choix malvenu tant l'interprète principal, James Purefoy, en manque.
Le film va donc ressembler à une espèce de téléfilm au budget démesuré. Il semblerait que l'entreprise ait manqué de talent plus que de moyens. Pour autant, Solomon Kane se laisse regarder et laissera le souvenir d'une histoire passionnante, contée par un bègue.
Note : 4 / 10
Le réalisateur Michael J. Bassett fera le choix de faire évoluer Solomon dans un univers plus réaliste et transposera l'action dans l'Angleterre du XVIe siècle. Évidemment, cet aspect fera perdre une part du mystère qui entoure Solomon Kane et l'amputera donc d'un peu de charisme ; choix malvenu tant l'interprète principal, James Purefoy, en manque.
Le film va donc ressembler à une espèce de téléfilm au budget démesuré. Il semblerait que l'entreprise ait manqué de talent plus que de moyens. Pour autant, Solomon Kane se laisse regarder et laissera le souvenir d'une histoire passionnante, contée par un bègue.
Note : 4 / 10
Vu le 2 janvier 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage