Sucker punch
Quand un enfant a été sage, on lui offre un jouet pour qu'il s'amuse.
Zack Snyder a été sage : il a fait des films qui ont rapporté de l'argent. La Warner lui offre donc 85 millions de dollars pour qu'il s'amuse. Zack, impatient, commence son film immédiatement, oubliant que c'est mieux d'avoir un scénario…
Qu'importe ! Le but est de s'amuser !
Le wisconsinois choisit ici de raconter l'histoire d'une jolie fille qui se fait plein de jolies copines et qui doit se battre avec elles en mini-jupes contre des ninjas robots, des zombies nazis, etc.
Bref, c'est n'importe quoi, mais c'est fait avec passion et avec une âme d'enfant à l'imagination débordante.
D'un strict point de vue cinématographique, Sucker punch n'a que peu d'intérêt, mais pour peu qu'on se laisse prendre au jeu, il devient un délire visuel fort récréatif.
Note : 7 / 10
Zack Snyder a été sage : il a fait des films qui ont rapporté de l'argent. La Warner lui offre donc 85 millions de dollars pour qu'il s'amuse. Zack, impatient, commence son film immédiatement, oubliant que c'est mieux d'avoir un scénario…
Qu'importe ! Le but est de s'amuser !
Le wisconsinois choisit ici de raconter l'histoire d'une jolie fille qui se fait plein de jolies copines et qui doit se battre avec elles en mini-jupes contre des ninjas robots, des zombies nazis, etc.
Bref, c'est n'importe quoi, mais c'est fait avec passion et avec une âme d'enfant à l'imagination débordante.
D'un strict point de vue cinématographique, Sucker punch n'a que peu d'intérêt, mais pour peu qu'on se laisse prendre au jeu, il devient un délire visuel fort récréatif.
Note : 7 / 10
Vu le 19 avril 2011
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage