Trance
Au sommet de sa carrière, le britannique Danny Boyle nous livre un film au titre énigmatique : Trance.
On y suit le personnage de James McAvoy, commissaire-priseur. Lors d'une vente aux enchères, un groupe de voleurs minutieusement préparé pénètre le bâtiment et s'empare d'un tableau de grande valeur. Ou plutôt, tente de s'en emparer, car James McAvoy, pris en otage pour guider les malfrats, parvient à leur fausser compagnie, et à mette le tableau en lieu sûr.
Quelques jours plus tard, on apprend dans la presse que l'otage a perdu la mémoire suite à un choc, et n'a donc plus aucune idée de l'endroit où il a pu cacher le trésor. C'est alors que l'organisateur du braquage, Vincent Cassel décide de kidnapper l'amnésique, et de le mettre entre les mains d'une hypno-thérapeute renommée, incarnée par Rosario Dawson.
Le commissaire-priseur va-t-il recouvrer la mémoire ? Et finalement, l'a-t-il réellement perdue ?
Le film mêle alors flash-backs, délires et dialogues entre personnages, avec un certain talent de mise en scène et d'écriture qui trouvera son apothéose en conclusion, avec un final malin et inattendu. Une belle réussite, donc, pour ce film qui fait paradoxalement parti des moins connus du réalisateur. À voir, donc, plus que les surcotés Slumdog millionaire ou 127 heures.
Note : 7 / 10
On y suit le personnage de James McAvoy, commissaire-priseur. Lors d'une vente aux enchères, un groupe de voleurs minutieusement préparé pénètre le bâtiment et s'empare d'un tableau de grande valeur. Ou plutôt, tente de s'en emparer, car James McAvoy, pris en otage pour guider les malfrats, parvient à leur fausser compagnie, et à mette le tableau en lieu sûr.
Quelques jours plus tard, on apprend dans la presse que l'otage a perdu la mémoire suite à un choc, et n'a donc plus aucune idée de l'endroit où il a pu cacher le trésor. C'est alors que l'organisateur du braquage, Vincent Cassel décide de kidnapper l'amnésique, et de le mettre entre les mains d'une hypno-thérapeute renommée, incarnée par Rosario Dawson.
Le commissaire-priseur va-t-il recouvrer la mémoire ? Et finalement, l'a-t-il réellement perdue ?
Le film mêle alors flash-backs, délires et dialogues entre personnages, avec un certain talent de mise en scène et d'écriture qui trouvera son apothéose en conclusion, avec un final malin et inattendu. Une belle réussite, donc, pour ce film qui fait paradoxalement parti des moins connus du réalisateur. À voir, donc, plus que les surcotés Slumdog millionaire ou 127 heures.
Note : 7 / 10
Vu le 29 mars 2022
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage