Une famille presque normale
Cette mini-série suédoise réalisée par Anna Platt et Hans Jörnlind esrt sortie sur Netflix en 2023. Elle met en scène un casting prometteur, dont Christian Fandango Sundgren et Melisa Ferhatovic, la série attire l'attention avec son mélange de mystère familial et de drame judiciaire.
Les Sandell, une famille en apparence banale de Lund, voient leur quotidien basculer lorsque leur fille Stella est accusée de meurtre et incarcérée. Le père, Adam, prêtre, et la mère, Ulrika, avocate, se trouvent plongés dans une quête pour comprendre les véritables facettes de leur fille et de leur propre existence.
La série navigue dans des eaux familières avec son intrigue judiciaire et ses secrets de famille. Malgré la compétence des scénaristes, l'histoire ne brille pas par son originalité. On oscille entre une atmosphère sombre et des rebondissements prévisibles, et bien que l'intrigue maintienne un certain intérêt, elle ne s'élève jamais au-dessus des conventions du genre.
Les performances des acteurs sont indéniablement solides, cependant, la profondeur des personnages reste en surface. Les Sandell, bien que bien interprétés, ne parviennent pas à échapper aux archétypes du drame familial. Stella, accusée de meurtre, est un personnage tragique, mais son développement est parfois sacrifié au profit de l'intrigue.
La série explore des thèmes familiaux complexes, mais ne parvient pas à offrir une perspective véritablement originale. La dynamique entre les membres de la famille, les secrets déterrés et les conséquences des choix passés sont des terrains familiers dans le monde des séries, laissant une empreinte délicate.
La réalisation, bien que compétente, ne parvient pas à transcender les attentes. La lenteur délibérée du rythme peut sembler pesante, même avec le faible nombre d'épisodes. La direction artistique capture efficacement l'ambiance sombre, mais n'apporte rien de révolutionnaire au genre.
Une famille presque normale est une mini-série correcte, portée par des acteurs talentueux, mais pénalisée par une trame familière.
Note : 6 / 10
Les Sandell, une famille en apparence banale de Lund, voient leur quotidien basculer lorsque leur fille Stella est accusée de meurtre et incarcérée. Le père, Adam, prêtre, et la mère, Ulrika, avocate, se trouvent plongés dans une quête pour comprendre les véritables facettes de leur fille et de leur propre existence.
La série navigue dans des eaux familières avec son intrigue judiciaire et ses secrets de famille. Malgré la compétence des scénaristes, l'histoire ne brille pas par son originalité. On oscille entre une atmosphère sombre et des rebondissements prévisibles, et bien que l'intrigue maintienne un certain intérêt, elle ne s'élève jamais au-dessus des conventions du genre.
Les performances des acteurs sont indéniablement solides, cependant, la profondeur des personnages reste en surface. Les Sandell, bien que bien interprétés, ne parviennent pas à échapper aux archétypes du drame familial. Stella, accusée de meurtre, est un personnage tragique, mais son développement est parfois sacrifié au profit de l'intrigue.
La série explore des thèmes familiaux complexes, mais ne parvient pas à offrir une perspective véritablement originale. La dynamique entre les membres de la famille, les secrets déterrés et les conséquences des choix passés sont des terrains familiers dans le monde des séries, laissant une empreinte délicate.
La réalisation, bien que compétente, ne parvient pas à transcender les attentes. La lenteur délibérée du rythme peut sembler pesante, même avec le faible nombre d'épisodes. La direction artistique capture efficacement l'ambiance sombre, mais n'apporte rien de révolutionnaire au genre.
Une famille presque normale est une mini-série correcte, portée par des acteurs talentueux, mais pénalisée par une trame familière.
Note : 6 / 10
Vu le 27 novembre 2023