Fée malgré lui

Fée malgré lui
Michael Lembeck
2010

Après Super Noël dans lequel Tim Allen remplaçait le père Noël qu’il avait accidentellement tué, le Cinéma américain nous propose… pire !

Michael Lembeck, le réalisateur d’Hyper Noël (Super Noël 2), commet Fée malgré lui. Cette fois, c’est Dwayne « The Rock » Johnson, superstar de hockey (si, si, c’est possible là-bas) qui, ne croyant pas en l’existence de la fée des dents (la petite souris américaine) et salissant son nom en se faisant appeler ainsi en raison de sa brutalité au hockey, est condamné à porter ailes et tutu et à devenir fée des dents intérimaire !

Dwayne Johnson ne sera pas le seul à être impliqué dans cette comédie nanarde puisque viennent se salir avec le sien les noms d’Ashley Judd, de Billy Crystal et de Julie Andrews (Mary Poppins) en fée des dents en chef !

Mauvais au point d’être drôle, Fée malgré lui représente le paroxysme du film pour enfant débile. C’est BASEketball, le côté parodique en moins. Bref, au premier degré, ce film est horrible, mais vu au deuxième degré, on passe un bon moment de rigolade en voyant Dwayne Johnson donner la réplique à Julie Andrews, tous deux vêtus de leur plus beau tutu.

Verdict : 

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