Encore une fois, Gulliver se retrouve adapté au cinéma, mais cette fois d’un angle novateur, puisque transposé au monde moderne.
Exit la satyre de la société suggérée par Jonathan Swift ! Place à la culture américaine pur jus et à l’un de leurs plus emblématiques ambassadeurs : Jack Black. Toujours aussi cabotin, le malheureux est loin de pouvoir compenser la réalisation catastrophique de Rob Letterman ou le scénario toujours porté disparu.
Bref, du lourd… du gras… de l’inepte / inerte (mais qui pourra toutefois amuser les plus petits).