Le comte de Saint-Germain

Le comte de Saint-Germain (à ne pas confondre avec Claude-Louis-Robert, comte de Saint-Germain, né en 1707) est un homme très mystérieux. Sa naissance même est sujette à polémique. Il serait né au début du XIIIe siècle et serait d’ascendance royale. Peut-être fils illégitime du prince François II  Rákóczi de Transylvanie, peut-être fils illégitime de Marie-Anne de Neubourg, reine d’Espagne.

Quoi qu’il en soit, l’homme était une personnalité exceptionnelle et mystérieuse : il parlait les principales langues de son temps : le grec, le latin, le sanscrit, l’arabe, le chinois, le français, l’allemand, l’anglais, l’italien, le portugais et l’espagnol. Artiste également, il peignait, jouait du clavecin et du violon, composant même ses propres morceaux. Il était aussi alchimiste, perçant – dit-on – le secret de la vie éternelle. Aventurier à ses heures, il aurait voyagé en Inde, en Perse et au Tibet avant de venir s’installer au château de Chambord.

Il devint ami proche de Louix XV à qui il confia ses véritables origines : traversant le temps, il aurait connu Jésus de Nazareth ainsi que la splendeur de Babylone. Confirmant son exceptionnelle longévité, Jean-Philippe Rameau, le compositeur, jura avoir vu le comte – adulte – en 1701.

En 1760, le duc de Choiseul, ministre du roi, parvient à faire accuser le comte d’espionnage. Il s’enfuira alors, parcourant l’Europe pendant six ans avant de trouver protection auprès de Frédéric II, roi de Prusse.

En 1784, les registres de l’Église d’Eckenförde, en Allemagne, annoncent le décès du « comte de Saint-Germain et Welldone ». Est-ce notre homme ? Peut-être. Cependant, franc-maçon convaincu, le conte est vu à une réunion maçonnique en 1785. En 1821, il est aperçu, conversant avec un ambassadeur, à Venise. Il a été, depuis, aperçu régulièrement aux quatre coins du Monde.

Difficile de démêler le vrai du faux dans un cas aussi peu documenté, car le véritable conte de Saint-Germain (celui qui était ami de Louis XV) a toujours été inconnu et anonyme. De fait, comment savoir quand il est né et quand il est mort (s’il est mort) ? Le mystère reste entier.

Le Koursk

Le 12 août 2000, le sous-marin nucléaire russe K-141 Koursk est victime d’un incident indéterminé produisant deux explosions, dans la mer de Barents. Là, vingt-trois membres de l’équipage survivent. Ils ne seront pas sauvés.

Médiatiquement, l’histoire fut narrée de manière très appuyée ; les journaux suivant de près la tentative de sauvetage… qui fut un échec cinglant ! Cette affaire fut entourée de plusieurs points très étranges comme le fait que la Russie « ne trouve plus le sous-marin à cause des mauvaises conditions maritimes » alors que ledit sous-marin était visible d’hélicoptère… le fait que cette même Russie décline les propositions d’aide internationale et le fait que les restes du Koursk, une fois celui-ci partiellement remonté des semaines plus tard, furent fondus et détruits très rapidement.

Le journaliste Jean-Michel Carré, ainsi que le scientifique Jean-Pierre Petit, spécialiste de la MHD expliquent ce naufrage de la manière suivante : le Koursk disposait de torpilles MHD (voir Découvre… la MHD) et allait en faire la démonstration devant plusieurs puissances militaires internationales. Apprenant la présence d’un haut dignitaire chinois à bord de l’appareil, les Etats-Unis craignent un transfert technologique. Sous la menace, les américains torpillent le sous-marin russe. Au lendemain de la guerre froide, la Russie ne pouvait se permettre de déclencher un conflit avec les Etats-Unis ; aussi Vladimir Poutine se serait-il résigné à laisser mourir l’équipage du vaisseau, prétextant de mauvaises conditions météo. L’épave ne sera remontée qu’une fois la tension et l’émotion redescendues. Laquelle épave sera logiquement fondue le plus rapidement possible, afin de masquer toute trace d’impact.

Si l’on en croit cette théorie, c’est probablement la troisième guerre mondiale qui a été évitée ici, sous couvert d’un incident de navigation…

La créature de Cerro Azul

Cerro Azul, « la colline bleue », est un petit village à quelques pas de Panamá, la capitale du pays du même nom. En septembre 2009, quatre adolescents qui jouaient près d’un lac tombent nez à nez avec une étrange créature. Effrayés, ils lui jettent des pierres et bâtons avant de s’enfuir. À leur retour, accompagnés de leurs parents, l’animal gît à l’endroit indiqué, mort. Et il semble d’ailleurs mort depuis plusieurs jours.

Des scientifiques se rendent sur place afin d’examiner l’animal. Se perdant en conjectures, ils décident d’étudier le corps en laboratoire. Dans l’attente des résultats, l’hypothèse avancée par la communauté scientifique est celle d’un paresseux ayant perdu ses poils suite à une longue immersion post-mortem dans l’eau. Or les jeunes affirment avoir vu l’animal « avancer » vers eux. Les enfants auraient-ils vu le cadavre flotter vers eux ? Peut-être… Attendons les résultats de l’analyse !

Les figurines d’Acámbaro

C’est en 1944, à Acámbaro, au Mexique, que le commerçant allemand Waldemar Julsrud découvrit une petite figurine en céramique émergeant du sol au bord d’un fossé. Là, il entreprit des fouilles sur un demi-hectare et déterra pas moins de 33 500 objets, principalement en céramique, mais aussi en jade et en obsidienne. Ces figurines, de 10 cm à près d’un mètre, représentaient entre autres des chameaux (exclusivement asiatiques) et même des dinosaures étonnamment bien représentés (ankylosaures, brachiosaures, iguanodons, stégosaures, etc.). Ce qui fait de cette découverte un réel mystère est l’âge de ces figurines. Une première datation au carbone 14 réalisée en 1968 par le laboratoire d’Isotopes Inc. (New Jersey) indique un âge compris entre 3000 et 6500 ans !

Confirmant cette ancienneté exceptionnelle, des datations par thermoluminescence réalisées en 1972 par l’université de Pennsylvanie sur deux figurines indiquent un âge de 4500 ans !

Les chambres à gaz

Bien entendu, l’existence des chambres à gaz ne saurait être mise en doute ici. D’autant plus que la contestation de crime contre l’Humanité est considérée comme un délit par l’article 9 de la loi Gayssot (n°90-615) du 13 juillet 1990. Cependant, cette rubrique du site ne vise pas à étayer quelque théorie du complot que ce soit, mais plutôt à éclairer le lecteur sur les différents éléments de l’histoire qui sont remis en cause par une minorité appelés, dans le cas des révisions historiques ayant trait à la seconde guerre mondiale des « négationnistes ». Voici, pour illustration, l’interview fictive d’un négationniste. Ce document (dont je ne suis pas l’auteur) a l’avantage de présenter succinctement la plupart des arguments révisionnistes :

– Alors comme ça, les révisionnistes contestent l’existence des camps de concentration ?

– Bien sûr que non. Les camps ne sont d’ailleurs pas une invention allemande, les premiers auraient été créés au XIXème siècle par les anglais lors de la guerre des Boers, en Afrique du Sud. En France même, des camps ont été ouverts pour regrouper les réfugiés dits « républicains », lors de la guerre civile espagnole, le principal étant celui de Gurs, où les conditions étaient assez épouvantables.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les américains ont également parqué leurs citoyens d’origine japonaise, pour des raisons similaires à celles ayant amené les allemands à procéder ainsi avec les juifs, nous y reviendrons.

– Au départ, les camps allemands ont bien été créés pour les opposants au régime nazi, non ? Pas très démocratique, tout ça…

– En effet.
Pour comprendre, il faut se replacer dans le contexte de l’époque.
En 1933, Hitler est arrivé au pouvoir dans un pays dévasté par les réparations imposées par les vainqueurs de 1918 et par une crise économique mondiale sans précédent, conséquence notamment du krach de 1929. Il y avait alors 6 millions de chômeurs crevant de faim et une hyperinflation ruinant la population.
Par ailleurs, le climat politique était proche de la guerre civile. Les affrontements entre communistes et nationaux-socialistes étaient quotidiens et laissaient régulièrement des morts sur le carreau. Lorsque le Maréchal Hindenburg appelle Hitler à la chancellerie le 30 janvier 1933, à la suite des législatives de novembre 1932, la gauche appelle à l’insurrection et à la désobéissance civile, ce qui est également très démocratique, mais pour paraphraser Saint-Just à propos de la liberté, « pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie », air connu et très contemporain. Les meneurs des partis et syndicats de gauche ont donc été arrêtés pour décapiter la révolte, faute de quoi le pays était condamné à la paralysie.
Il est à noter que la grande majorité des personnes internées ont été libérées au bout de quelques mois ou années, beaucoup ayant été retournées par l’incontestable réussite économique et sociale du nouveau régime.
Au total, la révolution nationale-socialiste allemande aura fait couler infiniment moins de sang que celles ayant eu lieu en France ou en Russie.

– Oui, mais ça c’était avant 1939. Ensuite, le nombre de camps a explosé, on s’est mis à interner les juifs, les francs-maçons, les tziganes, et les camps sont devenus des camps d’extermination.

– Prenons les choses dans l’ordre.
La première question qui se pose est de savoir qui a été interné et pourquoi.
On distingue plusieurs populations concernées
– les politiques : on a vu que la gauche allemande a été la première concernée
– les « résistants » : parfois issus de la gauche des pays en guerre avec l’Allemagne (mais pas toujours, en France les premiers résistants étaient de droite tandis que le Parti Communiste fraternisait avec l’occupant dans la ligne du pacte Molotov Ribbentrop), les partisans commettant des actes de sabotage ou des attentats contre les forces armées, ainsi que leurs complices ont pu être déportés
– les droits communs : en alternative à la prison, des criminels allemands ont été condamnés à des séjours plus ou moins longs en camp. Figurent dans cette catégorie, même s’ils étaient identifiés par un triangle rose spécifique, les homosexuels, qui aimeraient être classés dans les déportés « raciaux », mais qui ont été condamnés dans le cadre de lois allemandes qui, à l’époque, ne différaient guère dans ce domaine des lois françaises
– les individus menaçant la sécurité intérieure : cette catégorie regroupe les ressortissants de pays belligérants, dont les juifs, les asociaux, dont les tziganes, et les membres d’associations déclarées illégales, dont les francs-maçons.
Cette population mérite qu’on s’y arrête. On peut s’étonner que les juifs soient considérés comme belligérants. C’est la conséquence de la déclaration de guerre très officielle prononcée par le président du Congrès Juif Mondial à la tribune de l’ONU¹ dès septembre 1939.
À noter que, contrairement aux idées reçues, la déportation des juifs et des francs-maçons fut loin d’être systématique, même après 1939. De nombreux juifs allemands étaient encore libres à la fin de la guerre, certains étant même dans la Wehrmacht (seuls les postes d’officiers leur étant interdits). Quant aux francs-maçons, on peut citer le célèbre Otto Abetz, ambassadeur du Reich en France, frère ??? notoire.
La deuxième question à se poser est : pourquoi ce choix des camps ?
La réponse est à rechercher dans l’effort de guerre qui a soustrait à la population active des millions d’hommes présents sur tous les fronts Chaque camp était une usine, à laquelle était assigné une mission spécifique, dans les travaux publics, l’industrie ou l’armement.
La troisième question est : quelles étaient les conditions de vie dans ces camps ?
Je n’hésite pas à dire que ces conditions étaient assez bonnes jusqu’en 1942.
Les camps étaient certes des camps de travail avec des rythmes soutenus, situés dans des zones de climat rude, mais l’infrastructure était bonne avec des installations médicales de qualité, des activités culturelles (musique, théâtre, sport) et une alimentation suffisante. La situation s’est rapidement dégradée ensuite sous l’effet de deux éléments : le chaos dans l’approvisionnement du fait des bombardements massifs quotidiens sur les axes de transport et les camps eux-mêmes, en tant que centres industriels, par les alliés et l’évacuation des camps de l’est devant la progression de l’armée rouge, entraînant un afflux de réfugiés, une surpopulation et des épidémies.
La mortalité dans les camps a donc connu une croissance exponentielle, faible jusqu’en 41, forte à partir de 1944.

– Tout cela suppose que l’Allemagne a subi cette évolution. On sait pourtant que les nazis ont planifié l’extermination des déportés et décidé la solution finale.

– Distinguons deux choses : les mauvais traitements et l’extermination « industrielle ».
En ce qui concerne les mauvais traitements, nous ne disposons que de témoignages de déportés. Ils sont difficiles à réfuter, sauf lorsqu’ils sont incohérents, mais ils sont en tout cas, dans la peinture qu’ils donnent d’un centre de torture géant où des nazis sanguinaires passeraient leurs journées à imaginer le supplice le plus cruel ou le traitement le plus dégradant, en contradiction avec des faits qui, eux, sont établis et documentés. Je citerais les condamnations sévères par les tribunaux militaires allemands de soldats ayant commis des actes de violence injustifiés sur des détenus, des sanctions disciplinaires infligées à des chefs de camp, des courriers de l’administration centrale demandant des comptes sur la mortalité dans le camp, des rapports de la Croix-Rouge qui visitait régulièrement les camps, etc. Ces faits ne sont pas compatibles avec la version selon laquelle les excès, inévitables alors que l’Allemagne était frappée par une guerre totale voulue par les Alliés, guerre de terreur visant prioritairement les populations civiles, auraient été commis sur une grande échelle et avec l’assentiment des autorités.
Je rappelle également que l’administration des camps était très majoritairement composée de détenus, les fameux kapos, systématiquement choisis parmi les politiques, c’est-à-dire les communistes.
On sait que ceux-ci se sont très mal conduits vis-à-vis de leurs codétenus, se sont arrogés toutes les planques et ont également partagé avec leurs camarades de parti les colis reçus. C’est ainsi qu’un Marcel Paul, ministre communiste de De Gaulle, est rentré de Buchenwald gras comme une loche.
Au-delà de ce cas particulier, si la grande majorité des déportés est rentrée en piteux état, il y a d’autres clichés que celui que l’on montre toujours du quasi-squelette exophtalmique gisant sur son bat-flanc, probablement atteint de dysenterie ou du typhus. D’autres photos, moins diffusées, montrent des groupes de détenus, à la libération de leur camp, souriant à l’objectif et en apparente bonne santé.
Quant à l’extermination industrielle, elle ne tient pas debout.

– Vas-y, traite ces malheureux déportés de menteurs !

– C’est plus compliqué que ça.
Certains ont en effet été pris la main dans le sac, lorsqu’on a pu établir qu’ils n’étaient pas sur les lieux des événements qu’ils décrivaient au moment où ils étaient censés se dérouler ou lorsque des impossibilités matérielles ont été démontrées.
Il n’est guère étonnant, compte tenu de la haine existant entre les deux camps, si j’ose dire, que des individus aient cru bon de noircir les allemands et de faire leur intéressant, d’autant que le prestige et les avantages, moraux sinon matériels liés au statut de « survivant » sont une motivation supplémentaire.
J’accorderais cependant crédit à la bonne foi de nombre d’entre eux. Mettons-nous un instant dans la peau d’un déporté, traumatisé par les souffrances, fatigue, malnutrition, maladie, angoisse, et ne pardonnant pas à l’Allemagne cette jeunesse gâchée. Pendant des années, il se tait, pour ne pas remuer tout cela et parce qu’il n’a objectivement pas grand-chose à raconter que le froid, la faim, la peur.
Pendant ces années il lit les récits de gens qui racontent des horreurs s’étant déroulées dans son camp ou dans un autre à côté.
Dans un premier temps, il se dit « tiens, je n’ai pas vu ça ». Mais à force d’en lire et de voir que ces histoires ne sont pas contestées, que leurs inventeurs sont décorés, commémorés,invités dans les écoles, il va finir par croire qu’il y était. C’est de l’héroïsme que de passer, soit pour un con qui n’a rien vu, soit pour un planqué qui a moins souffert que les autres, soit pire que tout pour un néo-nazi, pour dire « minute, ça s’est pas passé comme ça ». Et puis, « c’est pas parce que je ne l’ai pas vu que ça ne s’est pas passé ». Après tout, « ils en étaient bien capables »…

– Revenons à l’extermination industrielle. Tout le monde sait que 6 millions de juifs sont passés par les chambres à gaz puis les fours crématoires. D’ ailleurs, les coupables ont avoué à Nuremberg…

– Tordons tout d’abord le cou à une première idée reçue. On fait semblant de croire aujourd’hui que l’acte d’accusation a été arrêté assez vite et que la version officielle de l’histoire n’a plus varié depuis Nuremberg.
La réalité est toute autre : au moins jusque dans les années 60, le dogme a varié significativement, que ce soit sur les lieux du crime, l’arme par destination ou le nombre des victimes, au point que, si Nuremberg reste la référence juridique pour la notion de contestation de crime contre l’humanité, il n’y a plus vraiment de version unique des historiens officiels, si ce n’est le nombre sanctuarisé des 6 millions. Par ailleurs, l’examen des faits ayant depuis longtemps cédé le pas à l’exaltation des émotions, persiste dans l’imaginaire collectif une vision, tirée directement des fictions littéraires et cinématographiques, qui va très au-delà des positions que défendrait à l’heure actuelle même l’historien israélien le plus exalté.
Il n’est donc pas inutile de revenir sur le détail (
horresco referens) des griefs.
Examinons tout d’abord l’arme du crime.
Il est établi aujourd’hui que les chambres à gaz sont le principal, voire quasi-unique, moyen d’extermination utilisé, sans toutefois que l’on nous dise précisément quelle proportion du total des victimes a été tuée de cette façon, ni quel pourcentage les juifs en ont représenté. Lors du procès de Nuremberg, les accusateurs en ont évoqué beaucoup d’autres, tombés depuis dans l’oubli, comme les camions à gaz, pour ne pas citer les plus invraisemblables.
Attardons-nous donc sur cette arme de destruction massive, par laquelle des millions d’hommes auraient péri. Nul n’est besoin d’effort d’imagination pour nous la représenter, puisque dans certains camps des chambres à gaz sont proposées à la visite, reconstituées ou « dans l’état d’origine ». Il s’agit de bâtiments d’aspect banal, dans lesquels, nous dit-on, étaient entassés les détenus sous prétexte de désinfection, avant que des granulés de Zyklon B ne soient déversés par une ouverture pratiquée dans le toit (le gaz n’arrivant par les pommes de douche que dans l’imaginaire populaire), des commandos spéciaux de détenus venant évacuer les cadavres après quelques minutes d’agonie.
Rien dans cette présentation n’est crédible :
– ni la conception des locaux présentés, totalement inadaptés à cette usage. On sait que l’exécution d’un condamné par le gaz, méthode longtemps utilisée dans certains états américains, requiert une infrastructure et des précautions d’usage extrêmement lourdes, si l’on veut éviter de gazer tout l’environnement. Ces contraintes ont d’ailleurs conduit à l’abandon de ce mode opératoire. Le gazage de dizaine de milliers de personnes par jour, dans un site industriel où sont présents des centaines de soldats et d’ouvriers civils allemands nécessiterait des installations dépassant l’entendement. Au lieu de cela, on nous présente de modestes baraquements, parfois même fermés par une porte vitrée (!) dont les carreaux auraient facilement pu être brisés par les agonisants, avec les conséquences dramatiques que l’on imagine sans peine.
– ni l’état actuel de ces locaux : l’acide prussique contenu dans le Zyklon B possède une très forte rémanence. Il adhère sur les surfaces et est facilement détectable plusieurs décennies après usage. Si les locaux présentés avaient été en contact avec les formidables quantités de gaz nécessaires à ce massacre, des doses considérables d’acide seraient encore présentes dans les parois. Les tests pratiqués et censurés depuis n’ont montré que des traces infimes, dues au réel usage de ce produit de désinfection, insecticide utilisé depuis la première guerre mondiale.
– ni le mode opératoire : l’absence d’installation d’arrivée et de retraitement du gaz, l’apport des granulés par une simple trappe non étanche, le non port de masques et de combinaisons par les commandos opérant quelques dizaines de minute après le gazage, tout cela n’aurait pu qu’aboutir, tout d’abord au décès quasi immédiat des déportés chargés de ramasser leurs congénères (alors qu’il en existe encore des « survivants » autoproclamés), mais surtout à la contamination de l’ensemble du camp
– ni le nombre de victimes par gazage : le nombre de personnes concernées par opération est tel, de l’ordre de 20 personnes par m², qu’en admettant que l’on arrive à une compression pareille, l’emploi de gaz serait parfaitement superflu, l’asphyxie intervenant bien assez rapidement.
Maintenant que nous avons fait justice de l’arme du crime, interrogeons-nous sur le lieu des faits.
Beaucoup de personnes s’imaginent encore que les chambres à gaz étaient un accessoire standard de tout camp « nazi », au même titre que les dortoirs ou l’infirmerie. Telle a été en effet la position officielle jusqu’en 1960.
À cette date, le Dr Martin Broszat, de l’Institut d’Histoire Contemporaine de Munich, déclara dans le journal « Die Zeit » qu’il n’y avait jamais eu de gazage sur le territoire allemand, mais uniquement dans les territoires conquis. Il introduisit ainsi un distinguo qui n’existait pas jusqu’alors entre camps de concentration et camps dits « d’extermination ».
Cette déclaration a constitué depuis lors la position officielle, sans qu’une réponse ne soit apportée aux questions fondamentales qu’elle faisait naître :
– quels éléments nouveaux justifiaient-ils cette distinction ?
– pourquoi avait-on laissé publier moult témoignages et récits sur les gazages dans des camps tels que Dachau, dont on nous dit maintenant placidement qu’ils étaient entièrement bidons ?
– comment continuer à maintenir le nombre des victimes tout en réduisant drastiquement le nombre de camps « d’extermination » ?
Venons-en maintenant justement aux victimes, leur nature, leur nombre et la période durant laquelle les crimes auraient été commis.
La période, tout d’abord.
Aucun historien ne prétend plus aujourd’hui qu’une volonté d’extermination de la population juive aurait existé très tôt au sommet du pouvoir allemand. Il est vrai que cela serait peu cohérent avec les incitations dispensées à ceux qui souhaitaient quitter le territoire national, ni avec les efforts diplomatiques déployés pour trouver un lieu de regroupement (il fut ainsi question de Madagascar).
Bien en peine de dater précisément le moment où le Reich aurait décidé, face aux difficultés rencontrées et, il faut bien le dire, au peu d’empressement des pays européens à les recueillir en nombre, de passer d’une stratégie d’éloignement à une politique d’extermination, les historiens officiels se sont longtemps focalisés, faute d’un document ou de correspondances étayant leur thèse, sur le « protocole de Wannsee ».
En janvier 1942 s’est en effet tenu à Berlin, une réunion du gouvernement allemand sur la question juive. Ce document utilise le terme de « solution finale » (même si « solution définitive » serait une meilleure traduction) qui est depuis entré dans le langage commun comme synonyme d’holocauste. Il faut vraiment solliciter ce texte pour y voir autre chose que ce qu’il est, c’est-à-dire la manifestation d’une volonté de regrouper les juifs dans les territoires annexés d’Europe Centrale, comme en témoignent différentes notes d’application parfaitement claires, diffusées par la suite, qui s’appuient sur ces résolutions. Aussi les historiens sont-ils de plus en plus nombreux à prendre leurs distances avec l’interprétation de ce texte, au profit de la thèse du « Grand Secret », à savoir une décision prise à une date indéterminée et communiquée de bouche à oreille aux milliers de personnes chargées de la faire appliquer, ce qui, si ce n’était pas si grave, ferait sourire toute personne connaissant un tant soit peu le mode de fonctionnement de l’administration germanique.
En conclusion, la Shoah, de l’avis même de ses disciples, aurait débuté quelque part dans la première moitié de 1942, pour se terminer, pour cause de chaos en Allemagne, aux alentours de la mi-44, soit pendant guère plus de 2 ans.
Passons à la nature de la population concernée.
L’on nous enseigne que les convois de déportés, à leur arrivée au camp d’extermination, faisait l’objet d’une sélection, les personnes valides étant orientées vers le travail, tandis que les personnes âgées, les enfants et les malades étaient dirigés sans délai vers la chambre à gaz, où les rejoindraient ceux dont les forces faibliraient. Encore s’agit-il là du scénario type Auschwitz, car les camps de Sobibor, Chelmno, Treblinka et Belzec, dont on parle de moins en moins, sont présentés comme de purs camps d’extermination, sans autre finalité.
Cette présentation est incompatible avec les nombreux vieillards, femmes et enfants « survivants » ayant passé plusieurs années à Auschwitz, où une maternité existait !
Si ces exemples étaient rarissimes, ils pourraient être l’exception qui confirme la règle, mais c’est loin d’être le cas.
Venons-en à présent au nombre de 6 millions, sacralisé et intangible depuis maintenant plusieurs décennies, quelles que soient les révisions concédées sur ses composantes.
Il n’a pas été gravé dans le marbre dès l’immédiat après-guerre : lors du procès de Nuremberg, des estimations bien supérieures ont été avancées. En fait, ce nombre a été calculé par différence entre des recensements approximatifs de la population juive européenne avant et après la Deuxième Guerre Mondiale. Il fait l’impasse sur l’importante émigration vers les Amériques, les Iles Britanniques, l’Afrique du Nord et surtout, pour les populations d’Europe Centrale, vers l’Union Soviétique lors des derniers temps du conflit.
Terminons par les fameux aveux.
Tout d’abord, contrairement à la légende, la plupart des accusés à Nuremberg n’ont pas « avoué », mais se sont contentés de dire qu’ils n’étaient pas au courant (et pour cause). Quand on parle d’aveux, on fait généralement référence à deux personnes : Höss, commandant du camp d’Auschwitz, qui a fait des aveux délirants et dont il est établi qu’il a été torturé, et Gerstein, simple SS, dont les « confessions » grotesques existent dans 5 versions différentes selon ses interlocuteurs et que ses antécédents de mythomane et de névrosé décrédibilisent.
Je rappelle également que les accusés des procès de Moscou avaient systématiquement avoué leurs « crimes » imaginaires, aveux qui ne prouvaient rien d’autre que l’efficacité des moyens de pression de leurs accusateurs.

– Si ce n’est pas 6 millions, combien alors ?

– Tout dépend de quoi on parle.
Si c’est du nombre de juifs gazés, la réponse est claire, c’est 0 pour les raisons précédemment évoquées.
Si c’est du nombre de juifs décédés par faits de guerre, c’est beaucoup plus compliqué : faut-il mettre sur le même plan le juif marseillais tué sous les bombardements alliés, le juif franc-tireur tombé sous les balles allemandes dans le maquis du Vercors ou au ghetto de Varsovie et le déporté mort à Auschwitz ? Si j’étais provocateur, mais ce serait mal me connaître, je répondrais qu’il en est mort beaucoup moins que d’allemands, qui, eux, ne se prétendent pas victimes d’un génocide.
Pour ce qui est de la mortalité dans les camps, je répète que nous en avons une idée précise jusqu’en 1944, où elle était faible, puis a augmenté très fortement du fait de la désorganisation du ravitaillement dans une Allemagne à feu et à sang et des évacuations de camps devant l’avancée de l’ennemi, entraînant surpopulation dans les camps de regroupement, épidémies et famine. Nous pouvons en tout cas écarter les chiffres avancés par l’accusation pour une raison simple : les fours crématoires auraient été parfaitement incapables d’incinérer une telle quantité de cadavres, et de très loin ; quant aux charniers, il n’en a pas été découvert de suffisants pour justifier une partie significative de la différence.

– Mais les historiens et les personnalités alliées ont certainement fait litière de ces critiques, non ?

– Parlons-en de ces personnalités : dans leurs très épais livres de mémoires, De Gaulle consacre une ligne à l’Holocauste et Churchill pas un mot. Officiellement, ils ne « savaient pas ». Devant l’invraisemblance d’une telle ignorance pour une armée alliée qui avait, dès 1943, une écrasante suprématie aérienne et survolait les camps tous les jours, en rapportant d’ailleurs une foule de clichés incompatibles avec la version officielle, une campagne médiatique a débuté depuis quelques années sur le thème : « ils savaient, mais ont été pusillanimes », accusation étrange pour les vitrificateurs de Dresde, bombardiers de cathédrales et autre mitrailleurs d’ambulances. J’imagine que l’objectif est de préparer l’opinion aux futurs bombardements préventifs…
Quant aux historiens, leur position est parfaitement résumée dans le texte de leur pétition lors du premier procès de Robert Faurisson : « il n’y a pas lieu de se demander comment le meurtre de masse a été possible. Il a été possible puisqu’il a été ». Il est significatif de la dérive qui s’est opérée progressivement : nous ne sommes plus dans l’Histoire, nous sommes face à une religion. Il suffit de remplacer chambre à gaz par Sainte Trinité et nos historiens de cour parlent comme Savonarole ou Torquemada.
Une seule personne est allée résolument sur le terrain des révisionnistes : il s’agit de Jean-Claude Pressac, pharmacien de formation. Il a publié en 1989 puis 1993 deux ouvrages consacrés aux chambres à gaz, dont l’un, notamment « les crématoires d’Auschwitz, la machinerie du meurtre de masse » a été salué par une presse enthousiaste comme apportant une réponse définitive aux arguties révisionnistes et eut même les honneurs du JT de 20h.
Pourtant, M. Pressac faisait de larges concessions aux révisionnistes, dissertant longuement sur les problèmes de maintenance des fours crématoires et leurs interruptions de service et révisant, de ce fait, drastiquement à la baisse le nombre de décès à Auschwitz, mais enfin il essayait vaillamment de décrire le fonctionnement des installations, ce qui lui valut l’estime générale. Hélas, hélas, ses démonstrations ne tenaient pas la route et il est mort récemment oublié de tous…
Personne n’a depuis repris le flambeau, l’Etablissement s’étant sans doute dit qu’il était plus efficace d’enfermer les dissidents et de les faire passer pour fous, selon la méthode soviétique.

– Mais quand on visite les camps, il y a cette atmosphère, ces valises, ces sacs de cheveux… Tout cela ne compte pas ?

– Tout individu doté de sensibilité ne peut pas ne pas éprouver de compassion dans un endroit où des hommes ont souffert.
Cela dit, il n’y a objectivement rien à voir dans un camp, que des barbelés et des baraquements. Tout le reste relève de la suggestion, alimentée par les « preuves de substitution ». Chacun voit alors, derrière chaque valise un mort, derrière chaque mèche de cheveux une femme épouvantée que l’on tond avant de la traîner vers une douche dont elle ne reviendra pas…
Ce travail d’imagination est particulièrement efficace chez les adolescents que l’on envoie, en récompense après une belle rédaction où ils ont rivalisé dans le gore et le lyrisme, par bataillons toujours plus serrés sur les traces de la bête immonde. Ils manqueront alors de s’évanouir devant une vieille paire de chaussures, défailliront en croyant distinguer un visage derrière la vitre de la « chambre à gaz » et rentreront fermement décidés à bien voter et faire voter pour que « plus jamais ça ».

– Tout de même, quelque chose d’aussi énorme ne peut pas surgir ex-nihilo, il n’y a pas de fumée sans feu …

– Les périodes de guerre, par l’angoisse et la méfiance par rapport à l’information qu’elles suscitent, sont propices à la naissance et à la propagation de rumeurs.
La plupart d’entre elles s’éteignent progressivement après la fin du conflit.
Parmi celles ayant eu le plus de succès, citons, lors de la Première Guerre Mondiale, le mythe des soldats allemands coupant les tétons des femmes pour les empêcher d’allaiter et les mains des petits garçons pour qu’ils ne puissent porter plus tard un fusil. Ce bobard n’était pas encore tout à fait mort en 1940 et ne fut pas pour rien dans l’exode de juin.
Pour la Deuxième, on trouve encore des adeptes du savon juif ou des abat-jour en peau de déporté.
Il est généralement très difficile d’identifier l’origine d’une rumeur mais, en ce qui concerne les chambres à gaz, il semble établi qu’elle provient de la résistance polonaise qui a envoyé plusieurs messages en ce sens dès 1942 à Londres, qui n’y attacha aucun crédit.

– Quel intérêt y aurait-il eu à inventer une histoire pareille ?

– L’intérêt des vainqueurs est évident :
– pour les juifs, l’OPA réalisée sur le phénomène concentrationnaire leur donne le statut de principale victime de la guerre, leur a permis d’obtenir la création d’Israël et son financement par la communauté internationale en général et l’Allemagne en particulier et leur confère, apparemment pour l’éternité, le statut de peuple martyr qui, quoiqu’il fasse, aura toujours l’excuse de la légitime défense.
– pour les anglo-américains, justifier a posteriori, par la diabolisation de l’ennemi, une guerre que l’opinion américaine a longtemps rejeté et faire oublier la barbarie de leurs méthodes (bombardements de terreur sur les populations civiles, arrosage à très haute altitude des villes « libérées » ayant fait plus de morts en France que l’armée allemande, etc. ) : « nous sommes l’axe du bien, puisque nous avons terrassé les forces du mal absolu »
– pour les soviétiques, se faire à bon compte une virginité : « que sont nos modestes goulags et nos gentillettes purges staliniennes à côté d’un holocauste en bonne et due forme ? »
– pour leurs alliés communistes européens, se situer, après avoir été à la pointe de la collaboration avec l’occupant, dans le camp des patriotes, des libérateurs et des martyrs (le « Parti des Fusillés »)
– pour les démocrates sociaux et autre socio-démocrates européens qui s’étaient enfuis après avoir conduit leur pays à l’abîme et laissé les clés à d’autres, comme la chambre du Front Populaire au Maréchal, revenir triomphalement de leur exil doré, gras comme des chapons, en pérorant : « voyez à quoi ça mène d’essayer autre chose que la démocratie, il ne faudra plus jamais le faire, promis ? »

– Mais si c’était un grand mensonge, avec la quantité de personnes au courant, il y en aurait forcément qui parleraient, à commencer par les victimes de celui-ci, allemands en tête …

– La classe politique allemande fait partie de la dernière catégorie de ma liste des profiteurs du mensonge, ce n’est donc pas elle qui remettra le mythe en cause.
Quant au peuple allemand, il subit en permanence un lavage de cerveau très efficace, par le système éducatif et médiatique, à base de pèlerinages didactiques et de multi diffusion d’oeuvres pseudo historiques de propagande. Et pour les réfractaires, un arsenal législatif répressif se charge de les envoyer au frais méditer sur l’utilité du combat contre les moulins à vent …
Les seuls qui pourraient briser l’omerta, ce sont les russes, qui ont beaucoup de documents mais ont encore trop besoin de l’occident pour se permettre ce luxe, et surtout la « nation arabe ».
Les palestiniens sont, en effet, avec les allemands, les principales victimes du Shoah Business. La tentation a été et est toujours grande, chez leurs leaders, de « cracher le morceau » et de dire que la création d’Israël repose sur une imposture, mais leurs moyens médiatiques sont dérisoires et leur voix serait inaudible face au tintamarre qui serait immédiatement organisé. Tout ce qu’ils y gagneraient serait d’être flétris du signe d’infamie : Palestiniens = Nazis. On comprend qu’ils hésitent …
Un homme s’est tout de même dressé : Ahmadinedjad, président iranien. Ses propos courageux et la conférence internationale de libres chercheurs qu’il a organisée lui ont naturellement valu une campagne de dénigrement international et de déstabilisation intérieure, en attendant qu’il succède à Saddam Hussein pour le titre d’ennemi public n°1 et que les bombes américaines ne viennent dissuader d’éventuels émules.
Restent les révisionnistes…

– Parlons-en, des révisionnistes ! Quelques illuminés néo-nazis voulant réhabiliter le Führer…

– Historiquement, pas du tout.
Pour ne parler que de « l’école française », le premier révisionniste fut Paul Rassinier, socialiste, pacifiste et résistant de la première heure. Déporté en octobre 1943, il revient invalide à 95%. Réélu député SFIO de Belfort, il doit renoncer à la politique sous la pression du Parti Communiste dont il dénonce les agissements dans les camps. Il se consacre alors à des conférences historiques dans lesquelles il stigmatise les mensonges répandus sur la réalité des camps et ceux qui en profitent.
Décédé en 1967, son oeuvre est reprise par un professeur de lettres, Robert Faurisson, responsable syndical enseignant (donc, de gauche). Il trouve des soutiens, non pas d’abord à l’extrême droite, mais à l’ultra-gauche, auprès de Pierre Guillaume et de sa librairie « La Vieille Taupe ».
Pendant ce temps, dans les maigres troupes des mouvements néo-nazis, il est plutôt de bon ton, à l’époque, de revendiquer la réalité de l’Holocauste pour s’en féliciter.
Aujourd’hui, les rangs des révisionnistes assumés sont assez clairsemés, du fait, d’une part, de la difficulté d’accès à l’information révisionniste, mais surtout, d’autre part, au coût social extrêmement lourd de ce statut. Partout, les chercheurs sont harcelés, entravés dans leurs activités professionnelles, stigmatisés dans leur vie sociale. En Europe, la quasi-totalité des pays a mis en place une législation réprimant la « contestation de crimes contre l’humanité » (en France, la loi dite Gayssot, votée à la suite de la manipulation de Carpentras) et les dissidents sont de plus en plus systématiquement condamnés à des peines de prison et/ou à des amendes exorbitantes.
La traque internationale des révisionnistes devrait d’ailleurs révolter tout esprit libre, quelle que soit son opinion. Car enfin, de deux choses l’une : ou leurs remarques sont dépourvues de sens et il n’y a qu’à en administrer la preuve, ou ils ont raison et seront considérés par l’histoire comme Galilée l’est aujourd’hui. Le libre penseur devrait s’interroger sur les raisons qui poussent nos sociétés, qui par ailleurs ne croient plus à grand’chose, à déployer un tel arsenal face à ce qui nous est présenté comme une poignée de farfelus, et à réintroduire le délit de blasphème tout en nous bassinant avec les droits de l’homme et la tolérance …
Je sais ce que l’on va m’objecter : c’est un sujet trop sensible pour les gens qui ont connu cette période, il faut attendre qu’ils aient disparu et l’on pourra en débattre plus sereinement.
Je réfute cet argument car, d’une part, cela ne changera rien puisque nous avons déjà en partie civile dans tous les procès en sorcellerie l’association des Fils et Filles de Déportés Juifs de France, en attendant d’avoir les arrières petits-fils et petites filles qui viendront, une main sur le coeur pour crier leur souffrance et l’autre tendue pour percevoir leur pretium doloris et, d’autre part, je ne vois pas en quoi le droit d’avoir souffert donne le droit de dire n’importe quoi. Le camp d’en face a enduré autant d’épreuves, généralement plus longtemps, et a, lui, juste le droit de se faire insulter. Il me semble donc que 60 ans à monopoliser la scène, c’est plus que suffisant.

– Mais toi, qui t’as mis des idées pareilles dans la tête ?

– Tout d’abord, il ne s’agit pas d’idées, mais de faits et de raisonnements.
Je n’ai adhéré à aucune secte et je trouve les thuriféraires de Steven Spielberg et les récitants du bréviaire selon TF1 assez mal placés pour mettre en doute mon autonomie de pensée.
Cela dit, je suis comme tout le monde et je ne suis pas né en ayant des doutes sur la Shoah, même si je fais partie de ceux qui ont, entendu, par hasard, la célèbre interview du Pr. Faurisson par Elkabbach sur Europe 1. Là où je suis peut-être un peu différent, c’est que je suis un esprit totalement ouvert, prêt à réexaminer toutes ses convictions à la lumière de faits nouveaux.
Aussi, lorsqu’un ami m’a fait part de ses analyses révisionnistes, au lieu de pousser des hurlements de vierge effarouchée, je me suis contenté de lui demander de me prêter quelques ouvrages afin de me faire une idée personnelle. La suite est évidente, car autant je peux comprendre qu’on ne soit jamais posé la question si l’on n’a pas eu la chance de faire la bonne rencontre ou d’accéder au minimum d’informations, autant je reste pantois devant ceux qui, ensuite, ne sont pas aveuglés par la vérité, tant la version officielle est inepte.

– De toute façon, cette obsession est étrange, car ces faits sont vieux de plus de 60 ans et quand bien même tu aurais raison, qu’est-ce que cela changerait pour nous aujourd’hui ?

– J’ai cru cela, moi aussi, mais pas longtemps.
Il suffit en effet d’ouvrir les yeux pour constater à quel point notre système politique et moral est issu du rapport de forces résultant de 1945.
Qui ne voit combien la politique internationale est israelo-centrée ?
Qui n’est aveuglé, dans la vie politique, par la référence constante, exprimée ou implicite, aux jugements sur le national-socialisme dans la diabolisation de notions comme la nation, la race, la famille, l’identité, l’ordre naturel ?
Il est parfaitement évident que tant que le mythe perdurera, les mouvements de droite nationale n’accèderont pas au pouvoir, car il suffira d’agiter la cloche des heures-les-plus-sombres pour que les chiens de Pavlov retournent ventre à terre à leur gamelle républicaine-et-citoyenne.
Je réfute enfin le terme d’obsession car si, hypothèse d’école, la preuve était demain apportée que les révisionnistes avaient tort, mon univers ne s’écroulerait pas : cela modifierait mon jugement sur le Troisième Reich, mais aucunement mes autres options politiques ou philosophiques.

– Cela sert à quoi, donc, d’être révisionniste en 2007 ?

– Cela sert d’abord à rechercher la vérité, ce qui me semble, en soi, une justification suffisante.
Cela sert ensuite à donner une grille de lecture du monde extrêmement pertinente et à procurer des réflexes sains de méfiance face à la désinformation constante dont nous sommes l’objet.
Cela sert, par un esprit critique toujours en éveil, à ne pas gober comme une larve les bidonnages comme celui du 11 septembre ou de la guerre du Golfe et à aller chercher la vérité là où elle se trouve, car, grâce à Internet, tout est maintenant accessible à qui surmonte sa paresse et résiste à l’endoctrinement.
Il est clairement plus confortable de vivre dans un monde de Bibliothèque Rose, où les gouvernements sont honnêtes, les media libres et indépendants et la vérité triomphante. Ce monde n’existe malheureusement pas et celui qui n’est pas capable de regarder la réalité en face n’est rien d’autre qu’un mouton bêlant.

–  Sortons un peu des chambres à gaz, car, en admettant qu’elles n’aient pas existé, les nazis se sont rendus coupables de quantité d’autres crimes qui, eux, ne sont pas contestés.

– Cela aussi, je l’ai cru. Vu de loin, le tableau donne une grande impression de cohérence, avec de la monstruosité partout : l’étoile jaune, Hitler belliciste, les camps, la Gestapo, la torture, Oradour, Mengele, les chambres à gaz… N’en jetez plus !
Le problème, et il faudrait des pages et des pages pour développer chaque thème, c’est que, si l’on s’approche et qu’on gratte un peu le vernis, rien de tout cela ne s’est déroulé conformément à l’historiographie.

– C’est ça, tous des petits anges ! Et Hitler, il n’était sans doute pas raciste ni antisémite, je suppose ?

– Commençons par l’antisémitisme.
Pour bien comprendre, il faut se replacer dans le contexte des années 30 en général et celui de l’Allemagne en particulier.
À cette période, l’antisémitisme était extrêmement répandu dans le monde occidental : à droite, il s’agissait d’un sentiment, soit religieux, de ressentiment envers le « peuple déicide », soit patriotique, le juif étant considéré comme fondamentalement apatride et donc attaché à saper les bases de la nation pour faciliter son propre développement. Ce rejet nationaliste existait également à gauche, auquel s’ajoutait une assimilation au capitalisme et à la finance internationale, faisant du juif un ennemi de classe.
Dans ce contexte général, la question juive revêtait en Allemagne une acuité toute particulière pour deux raisons :
– l’hégémonie dont disposait la communauté juive dans quantité de secteurs d’activité : la classe politique, l’industrie, les média, les professions libérales…
– le rôle qui était prêté aux leaders juifs dans la capitulation allemande de 1918. Il faut se souvenir en effet que l’annonce de celle-ci avait provoqué la stupeur en Allemagne, toute la guerre s’étant déroulée sur le sol français, sans que le territoire allemand n’ait été envahi. S’est alors développé la thèse du « coup de couteau dans le dos » qui, du fait de leur poids dans le pouvoir, ne pouvait être imputé qu’aux juifs. Les souffrances du peuple allemand, dues aux exorbitantes réparations imposées par le Traité de Versailles auxquelles est venu s’ajouter la crise économique mondiale, ont exacerbé sa colère envers la communauté juive, sentiment que le NSDAP a représenté et exprimé, mais n’a pas fait naître.
L’analyse que faisait Hitler était que les juifs était un peuple, distinct du peuple allemand et constituant donc un corps étranger au sein de celui-ci, nuisant à son développement. Sa volonté était donc de séparer l’un de l’autre, dans la société d’abord, puis d’encourager l’éloignement géographique.
Cette conception n’était pas l’apanage exclusif des nationaux-socialistes : souvenons-nous que dans la société traditionnelle, les juifs étaient dotés d’un statut particulier et n’étaient généralement admis à la citoyenneté de leur pays de résidence. Il est moins connu en revanche qu’elle était partagée par le mouvement sioniste de Theodor Herzl, qui affirmait, de la même façon, que la vocation du peuple juif n’était pas de se fondre dans son milieu environnant, mais de préserver scrupuleusement sa pureté ethnique et de se développer séparément, en attendant « l’année prochaine à Jérusalem », le regroupement en Terre Sainte. Les relations entre les organisations sionistes telles le Bétar, qui organisait des camps de jeunesse calqués sur le modèle des Jeunesses Hitlériennes,et les autorités allemandes étaient tout à fait correctes, pour ne pas dire cordiales, jusqu’ au déclenchement des hostilités.
Jusqu’à la guerre également, aucun juif ne fut interné en tant que juif, à l’exception de rafles qui furent menées dans la communauté après l’assassinat d’un diplomate allemand en 1938 et les personnes arrêtées furent généralement libérées au bout de quelques semaines. C’est uniquement le conflit, les appels à la guerre des organisations juives internationales et la participation massive des juifs, non pas aux forces armées ennemies ce qui aurait été légitime, mais aux groupes de francs-tireurs, saboteurs et autres groupes de résistants ignorant toutes les lois de la guerre, qui a entraîné la déportation des juifs. Celle-ci n’avait pas uniquement pour but, comme les américains avec leurs ressortissants japonais, d’isoler des belligérants potentiels, mais de disposer d’une main-d’oeuvre nécessaire à l’effort de guerre.
Certes, on peut avoir du mal à concevoir le danger que pouvaient constituer de pauvres hères, femmes et enfants, mais que fussent-ils devenus sans les chefs de famille ? Si l’on veut faire pleurer Margot, les dizaines de milliers de femmes allemandes violées et/ou mutilées par l’armée rouge, les Gis ou les soudards FFI, les enfants allemands massacrés étaient-ils plus responsables ? Ce sont les horreurs de la guerre et il est trop facile, et surtout faux, d’en faire porter tout le poids à Hitler.
Venons-en au racisme.
La supériorité de la race blanche ne faisait absolument pas débat, à l’époque, et surtout pas à gauche, où l’on voyait, par exemple, Jules Ferry monter à la tribune de l’Assemblée Nationale pour défendre la colonisation au nom du « devoir des races supérieures d’aider les races inférieures », face à ses collègues de droite qui trouvaient que nos colonies nous coûtaient trop cher… C’est ce que Rudyard Kipling appelait le « fardeau de l’homme blanc ».
Si l’on entend par racisme, croyance en la supériorité intellectuelle et culturelle de la « race aryenne », je dirais, oui, Hitler était raciste, comme tout le monde à l’époque.
Si l’on entend, conformément à la confusion mentale de notre époque, haine irrépressible et volonté d’extermination des autres races, rien ne permet de le dire.
Hitler avait notamment d’excellentes relations avec les musulmans qui furent nombreux à combattre aux côtés du Reich, symbolisées par son entente avec le Grand Mufti de Jérusalem, et la culture indienne, à laquelle il a emprunté le symbole solaire du svastika, l’intéressait beaucoup. En imposant le concept d’aryanité, il voyait dans l’Himalaya, qui n’est pas vraiment aux portes de la Bavière, le berceau de la race européenne (le sanscrit est à la base de la plupart de nos langues occidentales).
On viendra me jeter à la figure les Jeux Olympiques de Berlin, au cours desquels Hitler aurait quitté précipitamment le stade après la victoire de Jesse Owens sur le champion allemand, furieux qu’un nègre ait battu un aryen, ce qui ruinait ses théories racistes, et pour ne pas avoir à lui remettre sa médaille.
Remettons une fois de plus l’histoire à l’endroit :
– Hitler n’a jamais prétendu que les blancs courraient plus vite que les noirs. A l’époque, ces derniers n’avaient pas encore le monopole absolu du sprint, mais ils gagnaient assez souvent pour que l’évidence s’impose. La supériorité revendiquée de la race aryenne était, bien entendu, dans le domaine intellectuel et surtout culturel. Le Chancelier a d’ailleurs assisté à sa victoire sur 100m. C’est après une autre victoire, celle remportée au saut en longueur, devant le bien nommé champion allemand Long, à l’issue d’un duel épique, qu’il a quitté le stade, avec l’interprétation que l’on sait.
– Hitler n’aurait, de toute façon, pas remis sa médaille à Owens parce qu’il n’en a remis aucune, le protocole olympique l’excluant
– les JO de Berlin ont été, de l’avis unanime de la presse de l’époque, une réussite totale et un grand moment de fraternité. Toutes les délégations ont salué l’accueil très chaleureux que leur a réservé la population allemande. Pour revenir à Jesse Owens, qui, interviewé par la presse, n’avait pas interprété le départ du Führer comme étant dirigée contre lui,sa victoire lui a valu, malgré leur déception légitime, les félicitations immédiates de son concurrent malheureux et une interminable ovation du public. Les sceptiques peuvent se reporter au superbe album « Berlin, Olympia 1936 » publié par les autorités allemandes : ils y verront de nombreux clichés d’athlètes noirs triomphants, Owens en tête, des scènes de fraternisation entre athlètes noirs et blancs, et même la juive allemande Helen Meyer, médaille d’argent au fleuret sous le maillot frappé de l’aigle à croix gammée !

– Tu imagines bien que tes propos passent difficilement auprès de ceux qui ont été actifs dans la Résistance. As-tu quelque chose à leur dire ?

– La première chose que j’ai envie de leur dire est que je respecte ceux qui mettent leur peau au bout de leurs idées, surtout si rien ne les y contraint.
Ensuite, qu’il y a plusieurs angles pour aborder leur combat : la justesse de l’objectif, le choix des moyens, l’efficacité de l’action et les vertus morales manifestées.
Sur la justesse de l’objectif, tout est naturellement une question d’appréciation. De prime abord, il parait évident de lutter contre l’occupant et de tenter de rendre à son pays sa souveraineté. Dans le cas de la Deuxième Guerre Mondiale, chacun pouvait mesurer que l’enjeu dépassait de très loin un match France-Allemagne et que deux conceptions du monde s’affrontaient. Dès lors, la question n’était plus de choisir entre indépendance et soumission, inféodation ou liberté, mais à quel bloc on voulait appartenir. Au risque de choquer, mais je ne suis plus à cela près, je dirai qu’il n’est pas évident que, la paix revenue, la France aurait eu moins d’autonomie vis-à-vis d’un Reich vainqueur qu’elle n’en a eue par rapport aux Etats-Unis. Aussi, présenter les français ayant combattu sous l’uniforme allemand comme des collabos et ceux débarqués habillés en tommies comme des libérateurs est une imposture.
Par ailleurs, je ne suis pas certain que ceux qui ont choisi le camp du vainqueur se reconnaîtraient dans la société dont ont hérité aujourd’hui leurs enfants et petits-enfants et j’ose espérer qu’ils n’en sont, ou seraient, pas très fiers.
Sur le choix des moyens, j’évoquerais le cas, majoritaire, des résistants ayant oeuvré dans l’action clandestine. Ce type d’action reposait sur le sabotage d’installations, l’assassinat de soldats isolés et, plus rarement, sur des opérations coup-de-poing contre des détachements allemands. Vers la fin de la guerre s’est ajoutée le soutien aux troupes alliées.
Est-il utile de rappeler que ces méthodes sont proscrites par la Convention de Genève ? Elles étaient qualifiées de terroristes par la presse vichyste, ce qui est sémantiquement exact : est terroriste tout attentat destiné à créer un sentiment d’insécurité dans une population, en l’occurrence l’occupant, entraînant une répression qui, à son tour, va créer et élargir un fossé entre celle-ci et le peuple. Tel était précisément le but des résistants, avec comme inévitable effet des représailles sur la population civile, ce qui nous amène à la question de l’efficacité.
Sur le plan militaire, tous les historiens s’accordent sur le fait que le soutien qu’ont reçus les Forces Alliées, que ce soit en renseignement ou en appui logistique après le débarquement, a été marginal et, qu’autrement dit, l’absence de Résistance n’aurait pas changé grand-chose au déroulement des opérations, si ce n’est de permettre à quelques français de se parer des plumes du paon en apparaissant sur la photo des libérateurs. Je leur demande de s’interroger en conscience : cela valait-il de contraindre les allemands à faire ce que n’importe quelle armée d’occupation fait dans un cas semblable (et que l’on m’en cite une, dans toute l’Histoire, qui se soit mieux comportée que la Wehrmacht) : rechercher par tous les moyens les poseurs de bombe et fusiller des otages pour les couper de leur environnement ? Je pense que les enfants d’innocents otages fusillés ont leur avis sur la question.
Reste enfin les valeurs morales. J’ai déjà dit mon respect pour le courage et le don de soi. Mais je pose la question : qui a fait preuve du plus de courage, le FFI de la vingt-cinquième heure, si bien décrit par Alphonse Boudard dans « les combattants du petit bonheur », ou le volontaire de la LVF qui part défendre Berlin en 1945 ?
Il ne faut donc pas compter sur moi pour me prosterner sans autre examen devant tout résistant décoré comme un arbre de Noël : il y a parmi eux trop d’escrocs ayant fait preuve de plus d’opportunisme que de témérité, d’épurateurs insatiables et de bandits de grand chemin s’étant illustrés davantage par leurs vols, viols, pillages dans une Allemagne déjà dévastée que par leurs faits d’armes.

– Comme tu aimes bien avoir le dernier mot, tu voudrais sans doute conclure ?

– Volontiers.
Je n’ai pas voulu faire ici œuvre d’historien, mais présenter ma position d’une manière plus structurée qu’elle ne peut l’être dans le cadre d’une discussion à bâtons rompus et éviter ainsi qu’elle ne soit trop mal comprise ou caricaturée.
Je ne viens pas annoncer la bonne nouvelle aux âmes en déshérence, mais proposer, à tous ceux qui ne sont pas définitivement murés dans des mensonges prédigérés qu’ils prennent pour des opinions personnelles, des pistes de réflexion qu’ils seront libres d’approfondir.
L’aventure nationale-socialiste a provoqué un vent de panique dans le reste du monde. L’insolente réussite d’un régime qui fait, en 6ans, d’un pays au bord de la guerre civile, ruiné et désespéré, une nation unie autour de son chef, prospère et militairement capable de tenir tête à une coalition universelle, était intolérable. Aux yeux des américains, qui voyaient remettre en cause leur monopole de l’efficacité économique, et aux yeux des soviétiques, qui contemplaient, atterrés, leurs promesses sociales jamais tenues concrétisées par leurs ennemis les plus résolus.
Pareillement, les européens ne pouvaient pardonner l’image renversée de leur propre médiocrité que leur renvoyait la jeunesse triomphante, implacable et disciplinée, qui les avait balayé en 1940.
Alors oui, tout fut bon pour détruire jusqu’au souvenir de cette épopée : la guerre totale, paroxystique, les bombes au phosphore, l’acharnement sur les populations civiles, Hiroshima et Nagasaki en bouquet final.
Mais cela ne suffisait pas, il fallait ôter au monde toute velléité de retenter un jour une expérience similaire. Il fallait créer dans l’inconscient collectif un tabou absolu qui, jouant sur les émotions les plus profondes de l’homme, inhiberait définitivement son jugement. Ce tabou, qui fait depuis plus de 60 ans la preuve de sa diabolique efficacité, c’est celui de l’Holocauste et son corollaire, les chambres à gaz.
Tant qu’il ne sera pas tombé, le monde continuera de s’enfoncer vers la barbarie, dans un univers carcéral d’où les zombies métissés et acculturés pourront d’autant moins s’échapper que le geôlier sera dans leur tête.
Bien sûr, on peut faire des tas de reproches au national-socialisme qui a correspondu à un temps et à un peuple et dont nul ne peut dire quelle aurait été son évolution après quelques décennies de paix. On peut notamment lui préférer le modèle d’un pays qui est passé de la barbarie à la décadence sans jamais connaître la civilisation.
Je respecte toutes les opinions qui résultent d’une analyse différente de la mienne, sous deux conditions : qu’elles soient intellectuellement défendables et qu’elles s’appuient sur la somme des connaissances disponibles. Si la première n’est pas remplie, c’est de la bêtise. Si c’est la seconde, il s’agit d’ignorance. Et lorsqu’un système repose sur des opinions ne respectant aucun des deux critères, cela s’appelle la démocratie.

Le 2 mai 2007

 

¹ Il faut lire ici SDN, à qui succède l’ONU en 1945 (ndJL)

L’expérience Philadelphie

1943, aux Etats-Unis, c’est la course à l’armement. On le sait, le gouvernement a travaillé en lien avec Albert Einstein, notamment sur le projet Manhattan qui aboutira à la création de la bombe atomique, en 1949, et – de fait – au décès de 100 000 à 200 000 mort à Hiroshima et Nagasaki. D’après divers témoignages (principalement Alfred Bielek (c’est un pseudonyme) et Carl Allen, deux témoins directs de l’expérience), l’armée américaine aurait également exploité les travaux du physicien allemand dans une expérience pour le moins hors du commun.

Tout a commencé au début des années 30 lorsqu’un groupe de chercheurs de l’université de Chicago, mené par le génial Nikola Tesla décidai de travailler sur le délicat sujet de l’invisibilité en étudiant la faisabilité de la chose. Quelques mois plus tard, le projet est déplacé à la prestigieuse université de Princeton où s’installe Albert Einstein en 1933. L’équipe sera complétée, en 1933 toujours, par le physicien hongrois John Von Neumann. De plus, en Europe, le physicien américain Robert Oppenheimer et le mathématicien allemand David Hilbert travaillèrent par correspondance avec l’équipe américaine.

L’équipe travailla alors sur ce sujet de l’invisibilité jusqu’à obtenir un premier résultat – modéré mais encourageant – en 1936. Le but véritable était de créer un champ d’invisibilité autour d’un objet ou d’une personne. Le premier vrai succès, résultat du projet Rainbow, eut lieu en 1940 quand, sous la direction de Tesla, un petit bateau inoccupé fut rendu invisible.

En 1942, Franklin Roosevelt, ami personnel de Nikola Tesla, accorde à ce dernier un bateau de plus grande taille avec des membres d’équipage à bord, afin de mener une expérience de plus grande ampleur. Tesla avoue ne pas être prêt pour un si gros volume sans être certain de ne pas nuire au personnel de bord, mais en ces temps de guerre, le président impose au savant un timing serré. Effectivement, l’expérience est un échec : le bateau ne deviendra pas invisible. En fait, rien ne se passa. Tesla décida de se retirer du projet.

C’est le docteur Von Neumann qui prit le relai à la tête de l’équipe et travailla sur la question du précédent échec. Un autre bateau, le DE 173, renommé alors The Eldridge, fut confié au scientifique qui améliora considérablement l’installation électrique et était sûr de lui, même si ses croyances allaient à l’encontre des inquiétudes de Tesla concernant le personnel du bateau.

Le 22 juillet 1943, à 9h, le bateau fut rendu invisible pour une durée de quinze à vingt minutes. Au moment de sa réapparition, le personnel était victime de nausées et semblaient désorientés. Le succès était donc partiel. Le gouvernement décida alors d’arrêter ces expériences ; ou plutôt de les réorienter. En effet, la priorité était désormais l’invisibilité radar, et plus l’invisibilité optique. Von Neumann se consacra alors à la modification de ses appareils afin de répondre à la nouvelle problématique.

Le 12 août 1943, une ultime expérience fut tentée et fut un succès pendant plus d’une minute : le bateau, toujours visible, était absolument indétectable aux radars. Mais au bout d’une minute, le bateau disparu dans un grand éclair bleu pour ne réapparaitre que quatre heures plus tard ! Là, un spectacle effroyable s’offrit aux yeux des scientifiques : certains membres de l’équipage étaient littéralement incrustés dans les parois du bateau, d’autres couraient en tous sens, d’autres encore brûlaient sans se consumer. Seules semblaient épargnées les personnes qui se trouvaient sous le pont du bateau.

La part de vérité dans cette histoire est bien difficile à discerner, mais il est indéniable que Tesla, Von Neumann et Einstein ont travaillé à des projets top secrets. Peut-être apprendrons-nous un jour la vérité.

Les attentats du 11 septembre

Difficile de passer à côté de ce qui est devenu un véritable phénomène de société ! Démocratisant la théorie du complot, tout a débuté avec le buzz provoqué par la diffusion sur Internet, puis à la télévision sur la chaine Planète du documentaire Loose change, réalisé par Dylan Avery. On peut effectivement parler de buzz puisque la vidéo en question a été l’une des plus vues de toute la toile et le DVD a été vendu à plus d’un million d’exemplaires ! « Mouais… Une opportunité financière facile sur un drame planétaire ! »… Pas si sûr. Explications :

Avant d’accuser qui que ce soit de quoi que ce soit, un retour sur les faits s’impose. Tout commence le 11 septembre 2001, à 8h48, où un premier avion percute l’une des tours du World Trade Center, à New-York. Ce premier événement à lui seul est lourd de sens, car il est théoriquement inenvisageable ! En effet, il existe aux États-Unis (comme à peu près partout ailleurs dans le monde) des procédures de défense en cas d’anomalie aérienne. En fait, 14 avions de chasse supersoniques sont prêts, 24h/24, à décoller en cas de danger… et un Boeing 757 qui quitte sa trajectoire pour se diriger vers New-York, sans aucune communication radio, c’est clairement un danger ! Justement, le premier avion coupe la liaison radio à 8h14, soit 34 minutes avant l’impact. Le premier chasseur, lui, décolle à 8h44… efficace, la première puissance mondiale ! De plus, les quelques rares avions à avoir décollé se sont montrés incapables d’approcher ne serait-ce qu’un seul des quatre avions « détournés ».

Bref, le premier avion s’écrase, puis est très vite rejoint par le deuxième. Les tours sont en feu, c’est la panique. Soudain, à 9h58 (56 minutes après l’impact), la tour sud s’effondre en 10 secondes, par un phénomène miraculeux. En effet, d’après le rapport officiel, la tour s’est écroulée à cause de l’incendie déclenché qui aurait fait s’affaisser un étage élevé qui, en tombant sur celui du dessous, l’aurait fait s’écrouler, entraînant la chute d’une troisième étage, etc. Cependant, si l’on veut bien croire que l’incendie ait pu faire une chose pareille (un building a brûlé sans s’écrouler pendant plus de 12 heures à Madrid), il reste deux éléments assez troublants ! Ceux qui ont déjà joué au Jenga concevront que lorsqu’un édifice s’écroule, il est bien évident qu’il ne s’effondrera pas « droit »… Ça fera au mieux un tas qui ne ressemblera à rien, au pire, ça éparpillera des pans de mur partout autour des fondations. Dans le cas du mystérieux Wold Trade Center, les deux tours se sont effondrées exactement dans leurs fondations. Quel talent ces terroristes ! (qui, soit dit en passant, étaient considérés comme de piètres pilotes, et pire, comme des alcooliques à la libido très active… on fait mieux comme fervents musulmans). Bref, ceci est le premier point : la façon dont les tours se sont effondrées est particulièrement suspecte. Le deuxième point est la vitesse de chute, qui est celle de la chute libre ; ce qui signifie que les étages, en tombant, n’ont pas été ralentis par les étages inférieurs ; autrement dit, ils n’ont rencontrés aucune résistance. C’est comme si l’étage le plus élevé avait été lâché dans le vide. Surprenant ! Surtout pour des tours qui avaient été conçues, des propres mots de l’architecte, pour résister à l’impact du plus gros avion de l’époque, par très différent d’un Boeing 757. Selon le rapport officiel, l’architecte en question n’avait pas pensé au kérosène inflammable que pouvait contenir cet avion… Mouais… Si l’architecte est de ce niveau, on peut se demander légitimement pourquoi les tours ne se sont pas effondrées bien plus tôt !

Le plus troublant concernant ce site du WTC (je viendrais aux autres plus tard) est un bâtiment dont on n’a pas du tout parlé au moment des faits : le bâtiment 7. Cet imposant building était composé de 47 étages mais, à la différence de WTC1 et 2, n’avait pas l’aspect d’une tour. Il avait plutôt la forme d’un carré. Ce bâtiment n’a pas été percuté par quelque avion que ce soit. Il n’avait reçu aucun gros débris… Cependant, un petit incendie s’était déclenché à l’intérieur. Alors que les pompiers s’approchaient pour le maîtriser, Larry Silverstein, le locataire des tours, a dit à ces pompiers de s’éloigner, car ils allaient « tirer » l’immeuble. « Tirer » est un terme spécifique au domaine de la démolition contrôlée (technique permettant de faire s’effondrer un bâtiment à l’aide d’explosifs ; le bâtiment ainsi détruit s’écroule dans ses fondations à la vitesse de la chute libre… on en conclura ce qu’on voudra). Effectivement, le WTC7 s’écroule proprement quelques secondes plus tard. Ce building à la destruction incompréhensible contenait des documents de la CIA, et les dossiers concernant certaines grandes fraudes américaines, comme Enron. Ces documents, dont il n’existe aucune copies, sont perdus à jamais.

Pour finir sur le cas du World Trade Center, il faut préciser quelques éléments, en vrac, assez troublants :
– Larry Silverstein a obtenu la location du WTC sept semaines avant les attentats et a obtenu (en plus du contrat exclusif de reconstruction) 7,1 milliards de dollars de ses assureurs. 7,1 milliards, c’est deux fois 3,55. 3,55 milliards, c’est la somme qu’il touchait en cas d’attentat… mais ici, il y a eu deux attentats que Larry Silverstein a réussi à faire reconnaitre indépendants. Jackpot !
– Le week-end qui précédait le 11 septembre, des « agents de la maintenance » (dont on ne connait rien) se sont introduits dans les tours jumelles pour effectuer « divers travaux », obtenant la coupure intégrale du courant (oui, celui avec lequel sont alimentées les caméras de surveillance) ainsi que le retrait des agents de sécurité, et aussi (et surtout ?) celui de leurs chiens détecteurs d’explosifs.
– Les témoins des effondrements affirment avoir entendu une succession d’explosions au moment de la chute.
– Sous une vingtaine de centimètres de cendre et de gravats, les passeports des terroristes ont été retrouvés, comme neufs !
– George Bush, alors dans une école maternelle, apprenant que la deuxième tour avait été frappée, a fait comme si de rien n’était et a continué la lecture aux enfants.
– D’étranges spéculations boursières ont porté sur la valeur des actions des compagnies aériennes américaines quelques jours avant les attentats.

Comme un mystère n’arrive jamais seul, parlons un peu du troisième avion : celui qui a percuté le Pentagone. Là encore, pas la peine de s’attarder sur l’étrangeté des avions de chasse, absolument incapables d’intercepter un avion de ligne piloté par un débutant saoul fonçant sur le bâtiment le plus protégé au monde ! Là, par un phénomène inexplicable, l’un des plus gros avions de ligne au monde s’enfonce à pleine dans un immeuble haut de 24 mètres seulement sans toucher le sol (il s’agit là d’une manoeuvre digne du plus émérite des pilotes) en ne laissant qu’un trou de 4 mètres 50 de diamètre ! Aucune trace de l’impact des ailes ou des réacteurs ! Probablement se sont-elles détachées avant l’impact ? Oui, mais alors il faut admettre que celles-ci se sont pulvérisées, car il ne restait plus rien de l’avion après l’impact ! En fait, les seuls éléments que l’on ait retrouvés sur place sont un réacteur de petit avion (les terroristes avaient-ils des réacteurs de rechange sur eux ?), quelques pièces pas plus grosses que la main et… le passeport du terroriste ! Bon, il était abîmé, c’est vrai. Heureusement, la photo, le nom et le prénom étaient encore visibles ! Ouf, quel soulagement… Le plus triste à propos de ce troisième avion, c’est qu’il est impossible de voir les cassettes de vidéosurveillance, car le FBI a tout confisqué. Dommage, on ne verra pas le cas unique au monde d’avion qui se désintègre par magie ! Oh ! Que dis-je ? Ce cas n’est pas unique ! Il y a eu en effet un deuxième cas d’évaporation d’avion. Il s’agit du vol 93 United Airlines, qui s’est écrasé en Pennsylvanie le… 11 septembre 2001.

Effectivement, le quatrième avion, dont on a peu entendu parler s’est écrasé en pleine Pennsylvanie, près de Shanksville, en ne laissant qu’un cratère quasi-vide. Seuls quelques débris – là encore, pas plus gros que le poing – restaient sur place, dispersés à des kilomètres à la ronde.

Peu de temps après, les États-Unis déclenchent la guerre à l’Iraq après y avoir trouvé… Ah ? Non, pardon, sans avoir trouvé de terribles armes de destruction massive. Moralité : on pensera ce qu’on voudra sur cette affaire, mais il est indéniable que la version officielle ne tient pas la route… Et il resterait encore bien des points troublants à soulever à propos de cette journée qui restera dans l’histoire. Saurons-nous un jour la vérité ? Peut-être. Quoi qu’il en soit, la meilleure arme qu’il nous reste est l’esprit critique.

L’ampoule électrique

L’ampoule électrique, comme chacun le sait, a été inventée par l’américain Thomas Edison, en 1879. Cependant, à la fin du XXe siècle, des égyptologues ont découvert, dans la chambre intérieure du temple d’Hator, à Denderah (petite ville au bord du Nil, à une cinquantaine de kilomètres au Nord de Louxor) les bas-reliefs ci-dessous :

Évidement, rien ne prouve que ces représentations sont celles d’ampoules électriques. Cependant, l’écrivain suisse Erich Von Däniken a réussi à recréer une ampoule fonctionnelle à partir des moyens techniques de l’époque ; l’alimentation étant fournie par une pile de Bagdad. Bien sûr, principalement connu pour ses travaux sur l’étude des PAN, Erich Von Däniken n’est pas franchement un scientifique. Toutefois, il est vrai que la façon dont les égyptiens s’éclairaient à l’intérieur de leurs temples est toujours un mystère ! De simple torches auraient été très dangereuses et asphyxieraient tout le monde… L’idée d’une succession de miroirs a été suggérée, mais la lumière réfléchie n’aurait pas été assez puissante pour éclairer les plus gros ouvrage jusqu’à leurs cœurs, comme on peut le constater ci-dessous :

L’ampoule électrique répond donc à cette question d’éclairage.

La spagyrie

La spagyrie est une notion d’alchimie : moins noble que la pierre philosophale, qui transmute un métal vil, comme le plomb, en or, la spagyrie propose de transmuter l’argent en or. Cette technique aurait été observée par le scientifique Jean-Pierre Petit. Malheureusement, la page sur laquelle il racontait cette expérience n’est plus disponible. Je vais néanmoins tenter de vous la conter.

Il y a quelques années, Jean-Pierre Petit avait été contacté par un alchimiste affirmant maîtriser la spagyrie. Petit, intrigué, voulu voir ça de ses propres yeux et imposa un protocole expérimental valide. L’expérience était d’une simplicité extrême, car il suffisait de mélanger dans un four classique de l’argent et de la chaux (que Jean-Piere Petit avait tenu à fournir lui-même, afin d’être certain de la composition des produits). En jetant ensuite ce mélange dans de l’eau, il put entendre un claquement sec : le mélange ressemblait désormais à une sorte de pop-corn d’argent plaqué or ! Après analyse, il s’avéra qu’effectivement, il s’agissait d’or. En quantité infimes, certes, mais d’or tout de même !

Il est bien difficile de se prononcer quant au résultat de cette expérience. Dans la mesure où les produits étaient garantis purs, il semble peu vraisemblable que l’or ait été contenu dans l’argent ou dans la chaux. Ce n’est évidement pas le four non plus qui produirait de l’or… encore moins l’eau ! Le mystère de ce phénomène reste donc entier.

Le projet Blue Beam

Depuis que les gouvernements existent, les théories du complot existent. Il est évident que ces gouvernements – en particulier le gouvernement américain – nous cachent des choses ; à commencer par l’équipement militaire. L’élément variable, dans les théories du complot est la nature et l’importance de ce que l’on nous cache. Autant, à ce sujet, la théorie de la Terre plate avait fait fort, autant, à côté du projet Blue Beam, elle parait réaliste ! Je vous laisse juger.

Ce fameux projet Blue Beam serait fomenté par le gouvernement américain, en lien plus ou moins étroit avec le gouvernement russe, et se déroulerait en quatre phases que voici :

Phase 1 : instaurer une religion mondiale et scientifique après une forte déstabilisation psychologique de la population. En clair, un événement majeur se produirait, réunissant tous les humains autour d’une religion unique, athées compris. Ce qui signifie qu’une preuve irréfutable de l’existence d’un dieu serait apportée… Techniquement, ce n’est pas complètement impossible mais je vois mal comment ceci pourrait être l’oeuvre du gouvernement américain !

Phase 2 : à l’aide d’hologrammes projetés par satellite, l’armée américaine ferait croire à la fin des temps imminente et annoncera l’arrivée d’un messie. Ils sont forts ces américains ! En fait, ce messie ne sera autre que l’antéchrist qui montrera que les religions n’ont pas été comprises. C’était lui le vrai sauveur. Conséquence : des émeutes mondiales.

Phase 3 : pour achever de convaincre les sceptiques, des ondes télépathiques seront envoyées vers chaque être humain pour le persuader que Dieu lui parle personnellement.

Phase 4 : une invasion extraterrestre serait simulée, mais le messie arrivera pour sauver tout le monde et rétablir la paix sur Terre.

Conclusion : grâce à ces quatre phases, le gouvernement américain aura réussi à unir tous les hommes sous la bannière d’une religion unique et universelle ! Mouais… La Terre est peut-être plate finalement.