L’expérience Philadelphie

1943, aux Etats-Unis, c’est la course à l’armement. On le sait, le gouvernement a travaillé en lien avec Albert Einstein, notamment sur le projet Manhattan qui aboutira à la création de la bombe atomique, en 1949, et – de fait – au décès de 100 000 à 200 000 mort à Hiroshima et Nagasaki. D’après divers témoignages (principalement Alfred Bielek (c’est un pseudonyme) et Carl Allen, deux témoins directs de l’expérience), l’armée américaine aurait également exploité les travaux du physicien allemand dans une expérience pour le moins hors du commun.

Tout a commencé au début des années 30 lorsqu’un groupe de chercheurs de l’université de Chicago, mené par le génial Nikola Tesla décidai de travailler sur le délicat sujet de l’invisibilité en étudiant la faisabilité de la chose. Quelques mois plus tard, le projet est déplacé à la prestigieuse université de Princeton où s’installe Albert Einstein en 1933. L’équipe sera complétée, en 1933 toujours, par le physicien hongrois John Von Neumann. De plus, en Europe, le physicien américain Robert Oppenheimer et le mathématicien allemand David Hilbert travaillèrent par correspondance avec l’équipe américaine.

L’équipe travailla alors sur ce sujet de l’invisibilité jusqu’à obtenir un premier résultat – modéré mais encourageant – en 1936. Le but véritable était de créer un champ d’invisibilité autour d’un objet ou d’une personne. Le premier vrai succès, résultat du projet Rainbow, eut lieu en 1940 quand, sous la direction de Tesla, un petit bateau inoccupé fut rendu invisible.

En 1942, Franklin Roosevelt, ami personnel de Nikola Tesla, accorde à ce dernier un bateau de plus grande taille avec des membres d’équipage à bord, afin de mener une expérience de plus grande ampleur. Tesla avoue ne pas être prêt pour un si gros volume sans être certain de ne pas nuire au personnel de bord, mais en ces temps de guerre, le président impose au savant un timing serré. Effectivement, l’expérience est un échec : le bateau ne deviendra pas invisible. En fait, rien ne se passa. Tesla décida de se retirer du projet.

C’est le docteur Von Neumann qui prit le relai à la tête de l’équipe et travailla sur la question du précédent échec. Un autre bateau, le DE 173, renommé alors The Eldridge, fut confié au scientifique qui améliora considérablement l’installation électrique et était sûr de lui, même si ses croyances allaient à l’encontre des inquiétudes de Tesla concernant le personnel du bateau.

Le 22 juillet 1943, à 9h, le bateau fut rendu invisible pour une durée de quinze à vingt minutes. Au moment de sa réapparition, le personnel était victime de nausées et semblaient désorientés. Le succès était donc partiel. Le gouvernement décida alors d’arrêter ces expériences ; ou plutôt de les réorienter. En effet, la priorité était désormais l’invisibilité radar, et plus l’invisibilité optique. Von Neumann se consacra alors à la modification de ses appareils afin de répondre à la nouvelle problématique.

Le 12 août 1943, une ultime expérience fut tentée et fut un succès pendant plus d’une minute : le bateau, toujours visible, était absolument indétectable aux radars. Mais au bout d’une minute, le bateau disparu dans un grand éclair bleu pour ne réapparaitre que quatre heures plus tard ! Là, un spectacle effroyable s’offrit aux yeux des scientifiques : certains membres de l’équipage étaient littéralement incrustés dans les parois du bateau, d’autres couraient en tous sens, d’autres encore brûlaient sans se consumer. Seules semblaient épargnées les personnes qui se trouvaient sous le pont du bateau.

La part de vérité dans cette histoire est bien difficile à discerner, mais il est indéniable que Tesla, Von Neumann et Einstein ont travaillé à des projets top secrets. Peut-être apprendrons-nous un jour la vérité.

L’ampoule électrique

L’ampoule électrique, comme chacun le sait, a été inventée par l’américain Thomas Edison, en 1879. Cependant, à la fin du XXe siècle, des égyptologues ont découvert, dans la chambre intérieure du temple d’Hator, à Denderah (petite ville au bord du Nil, à une cinquantaine de kilomètres au Nord de Louxor) les bas-reliefs ci-dessous :

Évidement, rien ne prouve que ces représentations sont celles d’ampoules électriques. Cependant, l’écrivain suisse Erich Von Däniken a réussi à recréer une ampoule fonctionnelle à partir des moyens techniques de l’époque ; l’alimentation étant fournie par une pile de Bagdad. Bien sûr, principalement connu pour ses travaux sur l’étude des PAN, Erich Von Däniken n’est pas franchement un scientifique. Toutefois, il est vrai que la façon dont les égyptiens s’éclairaient à l’intérieur de leurs temples est toujours un mystère ! De simple torches auraient été très dangereuses et asphyxieraient tout le monde… L’idée d’une succession de miroirs a été suggérée, mais la lumière réfléchie n’aurait pas été assez puissante pour éclairer les plus gros ouvrage jusqu’à leurs cœurs, comme on peut le constater ci-dessous :

L’ampoule électrique répond donc à cette question d’éclairage.

La pile électrique

Pour beaucoup, la maîtrise de l’électricité par l’homme remonte au XVIIIe siècle au cours duquel diverses machines sont créées, à commencer par la lampe à décharge (ancêtre de l’ampoule électrique), conçue par Francis Hauksbee en 1707 ; mais c’est réellement au cours du XIXe siècle que l’électricité prendra de l’importance dans la société humaine. Fin XVIIIe, l’italien Alessandro Volta met au point la pile électrique. En fait, ce scientifique de bonne foi n’a en réalité fait que ré-inventer une découverte datée au moins du troisième siècle avant notre ère ! Explications :

En 1936, l’archéologue autrichien Wilhelm König remarque au musée de Bagdad, en Irak, une petite poterie, de la taille d’une grande tasse, fermée par un bouchon. D’après de sérieuses datations, l’objet daterait précisément de l’an -224. L’étrangeté de cette poterie réside dans le fait qu’elle contenait un tube de cuivre traversée par une tige en fer, le tout soudé au fond du pot par du plomb. À quoi pouvait bien servir un tel assemblage ? Des chercheurs se sont rendus compte qu’en remplissant ce pot d’un liquide acide (comme du jus de raisin), il suffisait de relier à ces éléments deux fils métalliques pour obtenir un courant de l’ordre du volt. Autrement dit, cette poterie est une pile électrique !

Même si certains refusent de voir dans cette poterie une pile, il semble bien difficile d’imaginer qu’elle ait pu servir à autre chose, en raison des éléments métalliques qu’elle contenait. De plus, certains bijoux de l’époque étaient plaqués de métaux nobles. Bien que techniquement réalisables à partir de feuilles de métal, ces plaquages auraient pu avoir été obtenus par galvanoplastie… Finalement, ces peuples antiques étaient peut-être plus évolués que ce que l’on souhaite nous faire croire…