L’ampoule électrique

L’ampoule électrique, comme chacun le sait, a été inventée par l’américain Thomas Edison, en 1879. Cependant, à la fin du XXe siècle, des égyptologues ont découvert, dans la chambre intérieure du temple d’Hator, à Denderah (petite ville au bord du Nil, à une cinquantaine de kilomètres au Nord de Louxor) les bas-reliefs ci-dessous :

Évidement, rien ne prouve que ces représentations sont celles d’ampoules électriques. Cependant, l’écrivain suisse Erich Von Däniken a réussi à recréer une ampoule fonctionnelle à partir des moyens techniques de l’époque ; l’alimentation étant fournie par une pile de Bagdad. Bien sûr, principalement connu pour ses travaux sur l’étude des PAN, Erich Von Däniken n’est pas franchement un scientifique. Toutefois, il est vrai que la façon dont les égyptiens s’éclairaient à l’intérieur de leurs temples est toujours un mystère ! De simple torches auraient été très dangereuses et asphyxieraient tout le monde… L’idée d’une succession de miroirs a été suggérée, mais la lumière réfléchie n’aurait pas été assez puissante pour éclairer les plus gros ouvrage jusqu’à leurs cœurs, comme on peut le constater ci-dessous :

L’ampoule électrique répond donc à cette question d’éclairage.

La pile électrique

Pour beaucoup, la maîtrise de l’électricité par l’homme remonte au XVIIIe siècle au cours duquel diverses machines sont créées, à commencer par la lampe à décharge (ancêtre de l’ampoule électrique), conçue par Francis Hauksbee en 1707 ; mais c’est réellement au cours du XIXe siècle que l’électricité prendra de l’importance dans la société humaine. Fin XVIIIe, l’italien Alessandro Volta met au point la pile électrique. En fait, ce scientifique de bonne foi n’a en réalité fait que ré-inventer une découverte datée au moins du troisième siècle avant notre ère ! Explications :

En 1936, l’archéologue autrichien Wilhelm König remarque au musée de Bagdad, en Irak, une petite poterie, de la taille d’une grande tasse, fermée par un bouchon. D’après de sérieuses datations, l’objet daterait précisément de l’an -224. L’étrangeté de cette poterie réside dans le fait qu’elle contenait un tube de cuivre traversée par une tige en fer, le tout soudé au fond du pot par du plomb. À quoi pouvait bien servir un tel assemblage ? Des chercheurs se sont rendus compte qu’en remplissant ce pot d’un liquide acide (comme du jus de raisin), il suffisait de relier à ces éléments deux fils métalliques pour obtenir un courant de l’ordre du volt. Autrement dit, cette poterie est une pile électrique !

Même si certains refusent de voir dans cette poterie une pile, il semble bien difficile d’imaginer qu’elle ait pu servir à autre chose, en raison des éléments métalliques qu’elle contenait. De plus, certains bijoux de l’époque étaient plaqués de métaux nobles. Bien que techniquement réalisables à partir de feuilles de métal, ces plaquages auraient pu avoir été obtenus par galvanoplastie… Finalement, ces peuples antiques étaient peut-être plus évolués que ce que l’on souhaite nous faire croire…