Evil (saison 2)
Evil nous revient avec toute l'excitation d'une suite attendue, toujours orchestrée par les maestros Robert et Michelle King. Le casting, mené par des têtes d'affiche telles que Katja Herbers et Mike Colter, promet une nouvelle plongée dans l'étrange et le mystique. Alors, allons voir si le diable est vraiment dans les détails.
L'équipe se retrouve à jongler avec des affaires aussi variées qu'une potentielle possession démoniaque, un homme affirmant entendre un ange, et une fillette hantée par un Jinn. Entre rituels infernaux et disparitions énigmatiques, la série promet une plongée profonde dans l'occulte et l'inexplicable.
La saison 2 d'Evil tente de déployer ses ailes, mais reste coincée au sol. Les personnages principaux, malgré leur charisme, ne parviennent pas à élever l'intrigue. Les péripéties autour de la petite troupe démoniaque et l'entreprise RSM Fertility laissent entrevoir un potentiel, mais le tout peine à décoller. On reste avec plus de questions que de réponses, et ce n'est pas toujours dans le bon sens. Pourtant, l'histoire du père sujet au doute et de l'époux de Kristen commence à prendre des directions intrigantes.
Katja Herbers, en dépit de son talent, semble être dirigée vers un virage agaçant. Mike Colter, en futur prêtre, reste aussi utile qu'un parapluie sous le Sahara. En revanche, Aasif Mandvi brille toujours de sa justesse, et Patrick Brammall (le mari de Kristen) gagne en intérêt. Cependant, le duo Michael Emerson et Christine Lahti vole la vedette, apportant une touche jubilatoire à l'ensemble.
Les thèmes ésotériques, les questionnements religieux et les mystères surnaturels sont là, mais la série peine à les explorer pleinement. Les intrigues secondaires concernant la petite amie de Ben et sa sœur, ainsi que les expériences de la troupe démoniaque, sont laissées en suspens, laissant le spectateur dans une zone d'ombre frustrante.
La direction et la photographie maintiennent un niveau de qualité, mais elles ne parviennent pas à compenser les lacunes scénaristiques. Les choix techniques restent solides, mais sans une histoire captivante, même la meilleure réalisation ne peut sauver une série.
Cette saison 2 est une montagne russe d'émotions. Entre des moments de brillance et des passages à vide, la série jongle avec l'occulte tout en laissant ses téléspectateurs dans l'expectative. Les performances de certains acteurs et les promesses non tenues de certaines intrigues laissent présager une suite incertaine. À suivre, mais avec une pointe d'appréhension.
Note : 6 / 10
L'équipe se retrouve à jongler avec des affaires aussi variées qu'une potentielle possession démoniaque, un homme affirmant entendre un ange, et une fillette hantée par un Jinn. Entre rituels infernaux et disparitions énigmatiques, la série promet une plongée profonde dans l'occulte et l'inexplicable.
La saison 2 d'Evil tente de déployer ses ailes, mais reste coincée au sol. Les personnages principaux, malgré leur charisme, ne parviennent pas à élever l'intrigue. Les péripéties autour de la petite troupe démoniaque et l'entreprise RSM Fertility laissent entrevoir un potentiel, mais le tout peine à décoller. On reste avec plus de questions que de réponses, et ce n'est pas toujours dans le bon sens. Pourtant, l'histoire du père sujet au doute et de l'époux de Kristen commence à prendre des directions intrigantes.
Katja Herbers, en dépit de son talent, semble être dirigée vers un virage agaçant. Mike Colter, en futur prêtre, reste aussi utile qu'un parapluie sous le Sahara. En revanche, Aasif Mandvi brille toujours de sa justesse, et Patrick Brammall (le mari de Kristen) gagne en intérêt. Cependant, le duo Michael Emerson et Christine Lahti vole la vedette, apportant une touche jubilatoire à l'ensemble.
Les thèmes ésotériques, les questionnements religieux et les mystères surnaturels sont là, mais la série peine à les explorer pleinement. Les intrigues secondaires concernant la petite amie de Ben et sa sœur, ainsi que les expériences de la troupe démoniaque, sont laissées en suspens, laissant le spectateur dans une zone d'ombre frustrante.
La direction et la photographie maintiennent un niveau de qualité, mais elles ne parviennent pas à compenser les lacunes scénaristiques. Les choix techniques restent solides, mais sans une histoire captivante, même la meilleure réalisation ne peut sauver une série.
Cette saison 2 est une montagne russe d'émotions. Entre des moments de brillance et des passages à vide, la série jongle avec l'occulte tout en laissant ses téléspectateurs dans l'expectative. Les performances de certains acteurs et les promesses non tenues de certaines intrigues laissent présager une suite incertaine. À suivre, mais avec une pointe d'appréhension.
Note : 6 / 10
Vu le 31 janvier 2024