Hercule à New York
Pour son tout premier film, Arnold Schwarzenegger, déjà fort de quelques titres de Mister Universe, enfile les sandales d'Hercule, le fils de Zeus. Las de l'Olympe, le demi-dieu convainc son père de le laisser descendre sur Terre pour quelques temps, histoire de découvrir le monde. Et quitte à faire un tel trajet, autant aller visiter la capitale du monde : New-York.
Très vite, le héros bodybuildé rencontre Arnold Stang, un vendeur de bretzels qui deviendra quelques secondes plus tard son meilleur ami. C'est alors que – passant à côté d'un stade – le grec procède à une impressionnante démonstration de force.
Complètement débile, le scénario sied pourtant parfaitement au jeu d'acteur d'Arnold Schwarzenegger qui, non content de vêtir une toge pendant une heure et demi, s'amuse à montrer ces biceps à chaque acteur secondaire du film. Arnold Stang, avec sa tronche d'ahuri, est quant à lui absolument parfait dans ce rôle de faire-valoir lèche-botte à la limite de l'homosexualité.
En clair, Hercule à New-York est un condensé d'effets-spéciaux minables, d'acteurs incompétents et de délires scénaristiques, le tout sur une musique traditionnelle grecque passée en boucle !
Et finalement, cette accumulation de maladresse cinématographique, si elle se fait au détriment du film, donne clairement à rire ! On assiste là à un nanar de très bonne facture, hilarant de bout en bout.
Note : 7 / 10
Très vite, le héros bodybuildé rencontre Arnold Stang, un vendeur de bretzels qui deviendra quelques secondes plus tard son meilleur ami. C'est alors que – passant à côté d'un stade – le grec procède à une impressionnante démonstration de force.
Complètement débile, le scénario sied pourtant parfaitement au jeu d'acteur d'Arnold Schwarzenegger qui, non content de vêtir une toge pendant une heure et demi, s'amuse à montrer ces biceps à chaque acteur secondaire du film. Arnold Stang, avec sa tronche d'ahuri, est quant à lui absolument parfait dans ce rôle de faire-valoir lèche-botte à la limite de l'homosexualité.
En clair, Hercule à New-York est un condensé d'effets-spéciaux minables, d'acteurs incompétents et de délires scénaristiques, le tout sur une musique traditionnelle grecque passée en boucle !
Et finalement, cette accumulation de maladresse cinématographique, si elle se fait au détriment du film, donne clairement à rire ! On assiste là à un nanar de très bonne facture, hilarant de bout en bout.
Note : 7 / 10
Vu le 18 novembre 2010