Lord of war
Quand le néozélandais Andrew Niccol, réalisateur de Bienvenue à Gattaca et S1m0ne s'intéresse au trafic d'armes, ça donne Lord of war, un film choc dénonçant les conditions de vente d'armes dans le monde à travers un Nicolas Cage au sommet de son art.
Nicolas Cage, donc, sert de prétexte à l'histoire en interprétant un homme qui deviendra le plus important trafiquant d'armes au monde. On suivra son parcours, de sa première vente à son apothéose financière. Mais au-delà de l'aspect documentaire, on verra comment l'homme parvient à déjouer les forces de police menées par Ethan Hawke mais aussi comment il parvient à combiner son activité professionnelle délicate avec sa vie de famille ; notamment avec son frère, Jared Leto, que la drogue consume, et avec sa femme, Bridget Moynahan, qui ignore tout de son activité.
Particulièrement esthétique, le film est très prenant, et on se délecte des aventures du marchant avec passion et horreur. Lord of war est la preuve que l'on peut dénoncer avec intelligence.
Note : 8 / 10
Nicolas Cage, donc, sert de prétexte à l'histoire en interprétant un homme qui deviendra le plus important trafiquant d'armes au monde. On suivra son parcours, de sa première vente à son apothéose financière. Mais au-delà de l'aspect documentaire, on verra comment l'homme parvient à déjouer les forces de police menées par Ethan Hawke mais aussi comment il parvient à combiner son activité professionnelle délicate avec sa vie de famille ; notamment avec son frère, Jared Leto, que la drogue consume, et avec sa femme, Bridget Moynahan, qui ignore tout de son activité.
Particulièrement esthétique, le film est très prenant, et on se délecte des aventures du marchant avec passion et horreur. Lord of war est la preuve que l'on peut dénoncer avec intelligence.
Note : 8 / 10
Vu le 10 juillet 2010
Lire la critique sur le site d'Antoine Lepage