Tristesse club
Apprenant le décès de leur père, Laurent Lafitte et Vincent Macaigne, deux frères que tout oppose, se retrouvent au bord du lac d'Aiguebelette pour l'enterrement. Or sur place, pas de cérémonie, mais une femme, Ludivine Sagnier, qui leur apprend être leur sœur.
S'en suit alors une histoire très franchement peu passionnante, sans queue ni tête, servant plutôt de prétexte à nous montrer des personnages déconnectés non seulement les uns des autres, mais également du monde qui les entoure. Ils ne comprennent pas cette société, et elle-même ne les comprend pas.
D'ailleurs, le film lui-même n'est pas compréhensible, pour la simple et bonne raison qu'il n'y a finalement rien à comprendre. On est sur un cinéma contemplatif. On suit nonchalamment cette bande de paumés avec un peu de pitié, et un brin de curiosité.
C'est tout ce qu'inspirera le film, mais quelque-part, ce n'est déjà pas si mal.
Note : 6 / 10
S'en suit alors une histoire très franchement peu passionnante, sans queue ni tête, servant plutôt de prétexte à nous montrer des personnages déconnectés non seulement les uns des autres, mais également du monde qui les entoure. Ils ne comprennent pas cette société, et elle-même ne les comprend pas.
D'ailleurs, le film lui-même n'est pas compréhensible, pour la simple et bonne raison qu'il n'y a finalement rien à comprendre. On est sur un cinéma contemplatif. On suit nonchalamment cette bande de paumés avec un peu de pitié, et un brin de curiosité.
C'est tout ce qu'inspirera le film, mais quelque-part, ce n'est déjà pas si mal.
Note : 6 / 10
Vu le 5 novembre 2019