JCVD

JCVD
Mabrouk el Mechri
2008

À l’instar de La vie de Michel Muller est plus belle que la vôtre, JCVD est une œuvre de fiction, présentée comme s’il s’agissait de faits réels.

Là, Jean-Claude Van Damme est en pleine dépression à cause de problèmes familiaux (divorce avec sa femme) et de problèmes professionnels (Steven Seagal lui pique un rôle). Il décide donc de rentrer en Belgique et va retirer de l’argent dans une banque. Malheureusement, il tombe en plein braquage et les bandits, ne sachant plus comment se tirer de la situation dans laquelle ils se sont mis font passer JCVD pour le véritable braqueur, le forçant à joueur le jeu.

Et finalement, le film se montre bien fait, touchant. Jean-Claude Van Varenberg (de son vrai nom) nous montre un côté très différent de sa personnalité. Il y parle sans anglicisme, ne montre pas ses muscles. Il fait du cinéma, tout simplement ; et il y arrive de manière surprenante. En toute humilité, il joue ce rôle d’un homme ordinaire, blessé.

Pour ceux qui n’aiment pas Jean-Claude Van Damme, voici une bonne occasion de se réconcilier avec lui !

Verdict :