Doomsday

Doomsday
Neil Marshall
2008

Vous avez aimé 28 jours plus tard, Les fils de l’homme ou autres Je suis une légende ? Alors vous aimerez Doomsday.

L’histoire se passe à une époque plus ou moins contemporaine. L’Écosse est mystérieusement frappée par un virus qui tue subitement 90% de la population locale. Face à son impuissance à endiguer l’épidémie, le gouvernement britannique décide de bâtir une version moderne du mur d’Hadrien et isole entièrement l’Écosse du reste du monde par un immense mur armé de tourelles automatiques tirant à vue.
Le danger est écarté…
Trente ans plus tard, catastrophe : le virus est observé en plein cœur de Londres ! Une seule solution : trouver un vaccin. Car, oui, il existe un vaccin. Du moins, on peut l’espérer puisque le gouvernement observe encore, par satellite, des traces d’activité humaine en Écosse. Il y a des survivants là-bas, donc de l’espoir !

Un commando spécial (composé surtout de Rhona Mitra) est envoyé sur ces terres désolées afin de mettre la main au plus vite sur un éventuel vaccin.
Dans cette Écosse ravagée, on retrouve avec plaisir l’ambiance de « l’homme civilisé livré à lui-même, libérant toute sa sauvagerie » telle que l’on peut la retrouver dans Mad Max ou dans le très rigolo Absolom 2022.

Le réalisateur de The descent nous offre ici un film assez jubilatoire, certes un peu décérébré, mais très amusant ! Surtout quand « le grand méchant » court après l’héroïne pendant la moitié du film pour venger sa copine, sa tête tranchée à la main. Bref, si l’on aime les films d’action débiles et sanguinolents, Doomsday est très bien !

Verdict :

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