Mon beau-père et nous

Mon beau-père et nous
Paul Weitz
2010

Ce troisième volet de la saga, Mon beau-père et nous marque une rupture avec les deux précédents épisodes puisque Jay Roach cède son siège de réalisateur à Paul Weitz, l’auteur d’American pie. Ce changement pouvait augurer de bonnes nouvelles puisque le deuxième film était vraiment au ras des pâquerettes…

L’histoire se déroule quelques années plus tard. Les Furnicker sont désormais parents d’un petit garçon et d’une petite fille, jumeaux, qui s’apprêtent à fêter leurs anniversaires en grande pompe. Évidemment, les deux belles-familles sont conviées à cet événement.
Parallèlement,  Ben Stiller se voit confier la présentation d’un ersatz de Viagra™ par Jessica Alba. Gags fins en perspective…

Écopant de quelques nominations aux Razzie Awards 2011 (pire actrice dans un second rôle pour Jessica Alba et Barbra Streisand et  pire scénario), le film est clairement aussi mauvais que le second volet de la saga.
Ne faisant preuve d’aucune originalité, le réalisateur se contente de recycler les gags des deux films précédent en y ajoutant Jessica Alba
Bref, à éviter à moins d’être un inconditionnel des aventures de la famille Furniker.

Verdict :

Mon beau-père, mes parents et moi

Mon beau-père, mes parents et moi
Jay Roach
2003

Après le succès de Mon beau-père et moi, le réalisateur Jay Roach – plutôt commerçant qu’artiste – s’est empressé d’écrire une suite à sa comédie.
Après Ben Stiller rencontrant ses beaux-parents, et surtout son beau-père Robert De Niro, c’est au tour de ces mêmes beaux-parents de rencontrer les parents de leur gendre. Ceux-ci, interprétés par Dustin Hoffman et Barbra Streisand (pourquoi pas ?) sont encore plus excentriques que leur fils déjà bien atteint.
Pour le couple d’américains traditionalistes, le week-end s’annonce particulièrement long !

En plus, c'est très cher !

Sans rien innover, le film est une suite tout ce qu’il y a de plus banal. À l’instar du premier opus, les gags sont aussi mauvais que prévisibles et une fois encore, tout repose sur le charisme du trio de tête d’affiche masculin.
Voir Dustin Hoffman et Robert De Niro se disputer autour du concept de paternité est certes amusant, mais en faire un film est tout de même assez limité…
Dommage, mais prévisible.

Verdict :