Crazy, stupid, love

Crazy, stupid, love
John Requa, Glenn Ficarra
2011

Les auteurs de la comédie I love you Phillip Morris reviennent à la réalisation avec un nouvelle comédie au titre… intéressant… de Crazy, stupid, love, menée par Steve Carell.
Évidemment, comédie romantique américaine + Steve Carell = 
En tout cas, c’est ce à quoi l’on aurait pu s’attendre. Et pourtant, ce film est loin d’être aussi mauvais que prévu !

Steve Carell, donc, apprend, un soir, que sa femme (Julianne Moore) l’a trompé avec Kevin Bacon et qu’elle souhaite divorcer ! Le nouveau célibataire, livré à lui-même et à son désespoir se laisse aller jusqu’à ce qu’un jeune Dom Juan, Ryan Gosling, touché par son histoire décide de l’aider à se prendre en main !

Curieusement, le scénario s’avère riche, plein de surprises, et les acteurs se révèlent très bons, en particulier Ryan GoslingJulianne Moore et Marisa Tomei, un peu moins Emma Stone et sa tête d’attardée.

Bref, ce film est une bonne surprise, et une jolie comédie romantique.

Verdict : 

 

Le monde perdu : Jurassic park

Le monde perdu : Jurassic park
Steven Spielberg
1997

Rares sont les suites dans la filmographie de Steven Spielberg. Celle-ci est d’ailleurs la seule si l’on excepte la saga des aventures d’Indiana Jones… et on comprend pourquoi !

Toujours adapté du roman de Crichton, cette suite met en scène le mathématicien interprété par Jeff Goldblum, partant en reportage photo sur la deuxième île ; une île-brouillon peuplée de dinosaures avant le fameux parc du jurassique. Évidemment, rien ne se passera comme prévu et le T-Rex sera de sortie…

Nettement moins bon que le premier volet, le film souffre de son casting mou (même si l’on s’amusera de la présence de Vince Vaughn encore inconnu du grand public). Particulièrement, Jeff Goldblum et Julianne Moore parviennent plus que difficilement à convaincre. Même le scénario, pourtant pas le point fort du premier film, devient ici un véritable handicap ne laissant à ce film que la qualité de ses effets-spéciaux. C’est déjà pas si mal, mais au bout de deux heures, c’est long !

Verdict :